Le trésor de Papy Jean

À PROPOS DE L'AUTRICE
Florence Ducatteau

Autrice de Le trésor de Papy Jean

Née le 25 avril 1961 à Bruxelles

Théâtre, IAD, Louvain-la-Neuve Licencie en Psychologie, UCL, Louvain-la-Neuve

Une page ou un écran blanc. Ça dépend… Le clavier m’est devenu presque plus habituel que le stylo. Des mots qui se bousculent pour être écrits. Beaucoup de silence. Et du plaisir. Parfois encore la peur d’être entrainée là où je ne veux pas. Où il est plus pénible d’écrire. Mais je sais maintenant que, si j’évite l’écriture, c’est pour mieux la murir et que, quand je serai prête, il me suffira de laisser mes doigts libres. Et puis, toujours des lectures et des relectures à voix haute. Je corrige. Beaucoup. Jusqu’à ce que le texte soit entier, prêt à être partagé. Avec ma fille d’abord, avec quelques amis ensuite. Avec des éditeurs. Enfin, par vous, je l’espère… Des romans par-ci, des albums par-là, quelques poèmes et adaptations… Depuis 2002, je publie en Belgique, France, Suisse et au Canada, autant pour les enfants que pour les adolescents. Lauréate d'une bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au projet, 2006 et 2008

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Dans le grenier de sa grand-mère, Nelson, un jeune écolier fort raisonnable, trouve de vieux objets abandonnés et entend soudain des voix dans sa tête. Ce sont celles de ses ancêtres paternels, les de Trieu, enfermés dans les objets à la suite d’une malédiction datant du 15ème siècle, infligée par un seigneur écossais, Roy Mac Gregor. Nelson passe beaucoup de temps à dialoguer avec sa famille et se surprend à parler avec un râteau, une assiette en faïence, un sabre ou un poêle à bois. Il garde pour lui ce secret mais, à la mort de sa grand-mère, ses parents vendent la maison et les aïeux ! Ceux-ci se retrouvent chez un antiquaire véreux de Bruxelles, qui les disperse un par un. Nelson se sent dépassé par l’énormité de la tâche à accomplir pour retrouver sa famille, il ne peut s’en ouvrir à son père, dont l’extrême émotivité l’empêche quasiment de vivre. Il fait alors la connaissance de Victoria, une vieille dame pleine d’énergie et de ressources. Ensemble, ils vont explorer la ville, à la recherche de vases, d’assiettes et autres vieilleries afin de lever la malédiction qui pèse sur la famille et de faire en sorte que les ancêtres de Nelson puissent enfin reposer en paix. Après Bjorn le Morphir, roman de fantasy humoristique récemment adapté en bande dessinée, Thomas Lavachery publie son deuxième roman, qu’il a écrit pendant deux ans avec une classe de CM1/CM2 d’une école de Bruxelles. Le résultat est amusant, l’écriture est enlevée, les dialogues savoureux et l’idée de départ originale. A côté de la quête opiniâtre de Nelson, il y a aussi l’évocation de sa vie quotidienne et de ses relations avec ses parents, notamment avec ce père si fragile, que Nelson veut préserver à tout prix. Ce garçon est fort malgré son âge et sa quête donne de la force à ceux qu’il aime. C’est aussi ce côté-là de l’histoire…

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