Le père d’Ealyn, travaillant secrètement pour la CIA, développe un robot capable d’effacer la mémoire des personnes nuisibles pour sauver les victimes. Il offre ce robot à sa fille en cadeau d’anniversaire. Lors d’un dysfonctionnement, le robot permet à Ealyn d’effacer des personnes, ce qu’elle fait pensant que c’est un jeu. Cependant, cela a des conséquences imprévues, car seuls les contacts virtuels se souviennent des personnes effacées. Les proches ressentent un manque inexplicable et des souvenirs flous.
Au final, est-il bon d’effacer les mémoires et ainsi de donner aux gens l’impression de vivre dans un monde meilleur que ce qu’il est ? La prévention et l’éducation ne seraient-elles pas des armes plus efficaces ? Une réflexion approfondie sur l’éthique de la technologie.
Autrice de Efface-moi si tu peux
Le jour de ses 16 ans, Ealyn voit débarquer dans sa chambre Zytryon, le robot de la famille, pour lui souhaiter un joyeux anniversaire. Créé par son père ingénieur en robotique, Zytryon aide principalement Ealyn dans les tâches ménagères. Aujourd’hui, il lui soumet cependant une proposition particulière : il lui demande quelles personnes elle souhaite qu’il efface. Croyant à une plaisanterie, Ealyn cite cinq noms sans trop réfléchir, mais lorsqu’elle arrive à l’école, elle constate que ces personnes ont bel et bien disparu…Au début, notre héroïne est grisée par l’effacement des personnes qui entravaient son chemin : la disparition du petit ami de sa meilleure amie lui permet de retrouver sa complicité avec cette dernière, la suppression…