C’est sur le ton de l’ironie qu’Antoine Pompe va régler ses comptes avec ses collègues architectes modernistes, et singulièrement avec leur chef de file, Henry van de Velde, qu’il surnomme Windberg, c’est-à-dire Montagne de vent. À la fin du livre, van de Velde, arrivé au Paradis, se fait membre d’un « club des chercheurs » qui réunit tous les plus grands architectes de tous les temps et de tous les pays. Promu secrétaire dudit club, il est amené à défendre sa cause face à Dieu et Saint-Pierre. C’est le texte de cette saynète particulièrement caustique qui est publié dans le présent ouvrage.
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