Il est à peu près sûr que le saint suaire de Turin est un faux qui date environ du milieu du XIVè siècle et il ne fait guère de doute que ce linge a véritablement contenu le corps d’un crucifié.
Le roman du linceul part de cette double probabilité et constitue, d’une manière violente et mouvementée, le récit de la fabrication de la relique. Ce roman donne du XIVè siècle une image saisissante. Il mêle les passions brutales à l’humanisme naissant, la guerre à la religion, le mysticisme à la peste et à la mort. Le lecteur est porté vers celle-ci de chapitre en chapitre jusqu’à l’éclat final. Le ton simple et rapide emprunté aux chroniques médiévales renforce encore l’intense dramatisation du propos.
Auteur de Le roman du linceul
"Un beau livre, sobre, vif, qui rend tangibles les saisons et les heures. Les illustrations d’Anne Leloup devancent ou suivent le poème avec la force sereine des empreintes." Critique de Françoise Lison dans Le courrier de l’Escaut paru en octobre 1999. Extrait : "A force de se chercher de se trouver de se perdre de rouvrir le sentier des rencontres de déplorer les malentendus les impasses de célébrer les retrouvailles ils déboucheront dans la clarté sans fin" [Source : Le site des éditions…
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