Le rire de Caïn

NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

« Le mot chef-d’œuvre est galvaudé. » C’est sur ce constat sans appel que s’ouvre la préface signée par Jacques De Decker à propos d’un des plus grands livres oubliés des lettres francophones de Belgique. Le rire de Caïn de José-André Lacour (1919-2005) constitue en effet un sommet de la veine autobiographique romancée. Publié à l’enseigne de La table ronde en 1980 – soit à l’époque où le questionnement identitaire se disait encore « Belgitude » à Paris –, ce fort volume se verra couronné par le Grand Prix des Lectrices du magazine Elle. Rien d’étonnant à cette reconnaissance si l’on considère la maestria de Lacour à camper les portraits des femmes qui peuplent son récit, à les mettre en scène dans le spectre…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Le rire de Caïn"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9548 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Le silence

Un texte posthume comme un ultime inventaire évoquant notamment la mort imminente et l'amour…

Nos vendredis

Trône, au rang des nouveautés de la rentrée littéraire, Nos vendredis , premier roman de…

Excusez les fautes du copiste

Le narrateur, Lejeune, est sorti sans éclat d'une école de beaux-arts…