Un professeur de lycée accompagne ses élèves et quelques collègues en excursion à Londres. Comme on peut s’y attendre, il profite de l’occasion pour prendre quelques moments de liberté dans l’espoir de retrouver l’atmosphère d’un autre voyage à Londres, fait il y a près de quarante ans à une époque dont les rêves ne se sont pas réalisés. Rongé de doutes mais doté d’une franchise exemplaire, le personnage traverse Londres qu’il observe avec perspicacité et mélancolie. Peu à peu affleurent des correspondances étranges qui donnent au récit une tonalité presque onirique.
Auteur de Le pub d’Enfield Road
Durant un voyage scolaire à Londres, Raymond Raymont, la soixantaine, un enseignant proche de la retraite, se perçoit en marge de la communauté (« le barbon barbant ») et choisit de se balader à son rythme, lâche les autres, les précède au lieu de rendez-vous, un pub d’Enfield Road, The Swan and Hope, au nord de la mégapole. Et…Aucun fléchage narratif. Il y a des indices, volatils, de suspense. Raymond croit reconnaître un mystérieux personnage croisé et recroisé en Belgique et en Angleterre depuis… trente-huit ans, un « vieil homme décrépit à l’écharpe et à la toque parfumées », aux yeux verts, au nez pointu. Trente-huit ans ? L’époque de son premier voyage londonien, de sa rencontre avec Irène…
Professeur en fin de carrière dans un lycée belge, Raymond Raymont, à qui l’enseignement n’a pas apporté grand-chose – si ce n’est un désenchantement progressif et une mélancolie pour le moins permanente –, accompagne ses jeunes collègues pour un voyage scolaire dans la capitale anglaise. Armé de son Virginia Woolf et de sa veste Mackintosh, il compte bien profiter de ce voyage pour retrouver les traces d’un autre voyage, réalisé il y a quarante ans avec – croyez-le ou non – ses amis Rosencrantz et Guildenstern, et Irène, jeune femme mystérieuse avec son Barthes et son Leica toujours à portée de main. Alors que ses compagnons de voyage aux noms tout aussi énigmatiques que mythiques ont été remplacés par de jeunes collègues, amateurs de lait d’ornithorynque…
Karoo
Dans ton camp : à défaut d’ailleurs
Les colonies de vacances, c’est un grand moment pour des ados de 16 ans… On peut y rencontrer ses meilleurs amis, comme ses pires ennemis. Pourtant, comme vont le découvrir Sonia, Émilie et Geoffrey, il ne faut pas juger un livre à sa couverture… Sonia, la candide, adore les histoires qui commencent et finissent bien. Son cœur d’or cache peut-être des sentiments plus noirs… Émilie, la tête brulée, préfère l’humour noir et les vilains mots. Ses dehors bravaches cachent cependant un grand sens moral… Geoffrey, le petit pervers, parle peu mais n’en pense pas moins. Il a juste besoin d’un coup de pied au derrière pour révéler ses talents… Dans Ton Camp, écrit par trois amis écrivains, raconte avec une bonne dose d’humour et d’autodérision, à quoi aurait pu ressembler leur rencontre il y a plus de dix ans, sur fond de fantastique et de folie douce. Les colonies de vacances, c’est un grand moment pour des ados de 16 ans… On peut y rencontrer ses meilleurs amis, comme ses pires ennemis. Pourtant, comme vont le découvrir Sonia, Émilie et Geoffrey, il ne faut pas juger un livre à sa couverture… Sonia, la candide, adore les histoires qui commencent et finissent bien. Son cœur d’or cache peut-être des sentiments plus noirs… Émilie, la tête brulée, préfère l’humour noir et les vilains mots. Ses dehors bravaches cachent cependant un grand sens moral… Geoffrey, le petit pervers, parle peu mais n’en pense pas moins. Il a juste besoin d’un coup de pied au derrière pour révéler ses talents… Dans Ton Camp, écrit par trois amis écrivains, raconte avec une bonne dose d’humour et d’autodérision,…