Le hasard arrive toujours à l’improviste

RÉSUMÉ

Il écrit des aphorismes comme d’autres tirent à la mitraillette ! Ça fuse, ça explose, ça éclate et surtout, comme il vise bien, ça fait mouche.
Hyperactif de l’écriture, Gaëtan Faucer entre en littérature côté cour, par le théâtre, mais il ne néglige pas le côté jardin pour s’adonner à la forme brève où son inspiration s’alimente de ce qu’il observe, ce qu’il entend ou ce qu’il ressent.
Dans une chronique, Éric Allard — à qui le livre est dédicacé — nous dit : (C’est) un jongleur et un joueur de mots qui ne laisse aux vocables aucun répit, les traquant sous toutes leurs acceptions pour leur découvrir des sens cachés, Faucer s’inscrit dans la lignée des moralistes français (La Rochefoucauld, Chamfort, La Bruyère…) qui dispensent par la bande des observations sur la nature humaine et le sens de la vie.

À PROPOS DE L'AUTEUR
Gaëtan Faucer

Auteur de Le hasard arrive toujours à l’improviste

Né à Bruxelles, le 31 décembre 1975. Dramaturge, poète, aphoriste et nouvelliste. C'est surtout le théâtre qui l'inspire sous toutes ses formes. Plusieurs de ses pièces ont été jouées dans divers lieux théâtraux.
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Le Carnet et les Instants

L’aphorisme est un passe-partout utile à nombre d’écrivains pour pratiquer une forme de provocation (voire de subversion) sous divers déguisements. Il peut se mettre au service d’une idée forte, avec éventuellement une exagération propre à asseoir une réputation et à susciter la controverse. Au service aussi de la facétie par des tours de passe-passe sur le langage et sur les jeux de mots de tout poil, signifiants ou non. Au service aussi du culte hautement salubre de l’absurde. Son empire s’étend donc des jugements altiers de Chamfort au ludisme populaire de l’almanach Vermot, en passant par les apories existentielles de G.C. Lichtenberg ou Pierre Dac. (En ce qui concerne Vermot, au-delà du mépris bonhomme dont il est la cible, rappelons quand même qu’il ne manque…


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