À La Grande Librairie sur France 5, Amélie Nothomb affirmait récemment qu’après « quatre heures d’écriture, on est exténué. C’est un sport de haut niveau. » Or, pour Jean-Marc Rigaux aussi, l’écriture est physique. Marathonien très entraîné, il fut un temps où il finissait parmi les cinquante premiers coureurs à l’arrivée de New York. Coureur de fond, il a besoin de pousser ses limites jusques aux bouts : la saturation, l’épuisement voire le rejet. Son nouveau recueil est le résultat de cent relectures.Sportif ou littéraire, son effort est total et cette fois, il l’a voulu stylistique. Les onze nouvelles sont une série d’exercices et de variations sur un même thème. Il y disperse l’âge, la douleur, le sexe et la…
Avocat et criminologue, spécialiste d’Henry de Montherlant, auquel il a consacré…
Voilà plus de quinze ans que ses lecteurs attendaient un nouveau livre de Carino Bucciarelli.…
Je n’ai aucune idée de ce que peut donner sur les papilles gustatives Le goût de la limace , titre…