C’est dans les mots et le silence, un silence à soi.
A l’ombre, dans la douceur de l’air, silence, amplifié
par des voies fortes et des éclats au loin, arrivés ici
très atténués.
Le récit d’une langue à soi
*
Qu’ai-je cherché dans les mots ?
Mon père, revenu avec son père dont la fin s ‘était
refermée sur nous ?
Les mots m’ont rendu la phrase perdue du bord de mer,
mes longues heures de marche.
Et maintenant que se passe-t-il ?
Maintenant l’écriture recommencerait.
Auteur de Langue qui me commence ; précédé de D’avoir couru comme le vent se lève
Les Saisons est avant tout un livre savoureux où plaisir et intelligence coïncident. Le recueil…