Auteur de La route des cendres
Il est des récits qui vous embarquent sans précaution inutile, sans que soit mis le contexte et le décor planté. Et ce n’est pas plus mal car nous apprenons le nécessaire en route. Au petit matin, David s’apprête à quitter sa maison de la banlieue de Paris et avec son départ s’ouvre le récit. Il prend le chemin de la gare comme il le fait chaque jour, pour rejoindre son travail. Sauf que cette fois, il ne s’y arrête pas. Il tient la direction du Nord, comme on prend la tangente, animé d’une force que rien n’arrête. La marche lui est bienfaisante, elle vient à point pour libérer son esprit, pour lui permettre de se vider de son passé, de se retrouver face à lui-même. En lui emboîtant le pas, nous saurons peu à peu ce qui a mis cet homme en mouvement, les raisons…
Une chaussette qui a vécu la vie de son Maître, cultivateur dans les années…
La mère de Pierre est morte en couches seule au milieu des bois. Lorsque son père est rentré…
Conseils communaux imaginaires, figurés ou recomposés, peu importe la forme…