La profanation de Saint-Denis | Objectif plumes

La profanation de Saint-Denis

À PROPOS DE L'AUTEUR
Franz Clément

Auteur de La profanation de Saint-Denis

Franz Clément est né à la maternité de la clinique Edmond Jacques à Saint-Mard, en Gaume, le 29 avril 1969. Il effectuera ses classes maternelles et primaires à l'Ecole primaire de l'Etat à Izel, où il habitera jusqu'à l'âge de 6 ans. C'est alors que la famille déménage pour Martelange, le berceau de la branche paternelle. Franz Clément y habite toujours, installé dans la maison de son arrière-grand-mère. En 1981, il entame ses humanités à l'Athénée Royal d'Arlon en section latine. C'est durant ces quelques années qu'il va commencer à rédiger des petites compositions théâtrales ou bien à adapter des contes et récits pour les besoins des fêtes de Noël qui, alors, sont organisées chaque année au quartier de l'Eglise à Martelange. Des enfants et des adultes du quartier joueront les rôles dans ces compositions données en plein air chaque dernier dimanche de l'Avent. C'est bien plus tard, en septembre 2007, que ces compositions théâtrales seront remaniées et qu'elles paraîtront aux éditions EOLE à La Roche-en-Ardenne sous le titre "Noël sur les Planches. Jeux scéniques pour Enfants et Adultes sur le Thème de la Nativité". En 1988, l'auteur entreprendra des études universitaires d'abord en droit puis, cette branche ne lui plaisant pas particulièrement, en sciences politiques et relations internationales à l'Université Catholique de Louvain, un établissement dont il sortira licencié en juillet 1994. Peu de temps avant la fin de ses études, en décembre 1993, il publiera un premier ouvrage consacré aux légendes anciennes de sa région, la vallée de la Haute-Sûre. Pour cela, Franz CLEMENT traduira de l'allemand en français les vieux récits contenus dans le fameux "Wintergrün" de Nicolas WARKER, paru en 1890. Les traductions seront retravaillées de fond en comble puis embellies avant d'être publiées aux éditions MICHEL Frères à Virton sous le titre "Légendes du Pays d'où je viens. Récits fabuleux de la vallée de la Haute-Sûre". En octobre 1994, à l'âge de 25 ans, il est élu membre du conseil communal de Martelange et devient aussitôt le plus jeune bourgmestre de Belgique, une fonction qu'il occupera durant trois ans, suite à un accord de coalition. Pour ses actions en faveur de la citoyenneté active, il recevra le "Prix du Civisme" organisé par la Ville de Bruxelles en octobre 1998. De cette période naîtra son second ouvrage, un essai politique consacré à son expérience de bourgmestre et à l'engagement politique des jeunes. L'ouvrage intitulé "Jeunesse, Politique et Citoyenneté" sortira en mars 1999 aux éditions MEMORY PRESS à Erezée. Dans le domaine professionnel, après de brefs passages à l'administration centrale de la Province de Luxembourg à Arlon et à la Chambre des Représentants à Bruxelles, Franz CLEMENT occupera dès 1996 un poste de chargé de recherches à l'institut CEPS/INSTEAD (Centre d'Etudes de Populations, de Pauvreté et de Politiques Socio-Economiques/International Networks for Studies in Technology, Environment, Alternatives, Development) à Esch-sur-Alzette, au Grand-Duché de Luxembourg. En mars 2007, il y deviendra conseiller scientifique et responsable de l'unité "Relations professionnelles et Emploi". On lui doit des publications professionnelles portant, essentiellement, sur le dialogue social, le travail intérimaire et les étudiants. Il a longtemps représenté le Grand-Duché de Luxembourg au sein du groupe de recherche sur le dialogue social institué auprès de la Commission Européenne et de l'Institut des Sciences du Travail de l'Université Catholique de Louvain. Il collabore aussi à la rédaction d'articles à caractère socio-politique dans les journaux économiques "Agefi", "Forum Entreprises" et "Entreprises magazine". Franz CLEMENT a longtemps travaillé à la réalisation d'un circuit touristique des légendes de la Haute-Sûre reliant la Belgique au Grand-Duché. Le projet a été inauguré en juillet 2005. Dans cette optique, il avait publié en juin 2003 aux éditions MEMOR à Bruxelles, un nouvel ouvrage sur ce thème intitulé simplement "Légendes de la Haute-Sûre". Il s'est adjoint pour ce faire la collaboration d'Anne-Sophie HENON, une jeune fille ayant consacré son travail de fin d'études au sujet. En juin 2004, il a publié son premier roman aux Editions Eole à La Roche-en-Ardenne, sous le titre "L'Âme au Nord". L'histoire se déroule dans un pays qu'il affectionne particulièrement : le Danemark. Son second roman, "La Profanation de Saint-Denis"a été édité quant a lui en mai 2012 aux éditions Persée à Paris et Aix-en-Provence. Il a aussi terminé un diplôme d'études approfondies en sciences du travail et de la formation à l'Université de Nancy 2. Il a soutenu une thèse doctorale en sociologie du travail à Paris, au CNAM (Conservatoire National des Arts et Métiers) le 8 mars 2011. Cette thèse a été publiée en janvier 2012 aux Editions universitaires européennes à Saarbrücken en Allemagne, sous le titre "Consociativisme et dialogue social. Les relations professionnelles au Grand-Duché de Luxembourg". Franz CLEMENT est le père de deux enfants : William-Alexandre né le 25 mars 2000 et Marie-Elisabeth née le 7 février 2002. Franz CLEMENT est grand amateur de séjours en France, de promenades en forêt, de chasse au grand gibier et de bonne cuisine. Ses auteurs préférés sont l'Allemand Thomas MANN, les Belges Amélie NOTHOMB et Armel JOB ainsi que le Turc Orhan PAMUK. Depuis mars 2012, il prépare un nouveau roman ainsi qu'un essai politique sur le centrisme. Ces deux ouvrages sont apparus en 2013.

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Basile et Isabel sont des faux jumeaux de presque 12 ans qui apprennent à vivre avec leur papa et leur tante Amélie depuis la disparition de leur mère. Malgré leur gémellité et les mêmes lettres qui composent leur prénom, les frère et sœur sont très différents : l’une est en fusion avec son GSM, à l’affût de l’actualité de sa star préférée et peut parfois être plongée dans un mutisme de plusieurs jours, tandis que l’autre est un solitaire qui aime l’école et est toujours fourré avec son seul et unique ami Ludo. Isabel est vraiment différente de moid’abord évidemment puisqu’elle est une fille.Elle est blonde avec plein de taches de rousseuret moi j’ai des cheveux noirs comme mon papaquand il avait vingt ans sur les photographies.Elle rit quand je pleure ; elle a beaucoup d’amieset moi, je n’en ai qu’un (quand il veut bien de moi).Elle est plutôt bavarde et je suis silencieux.Elle aime le dessin, le sport et la gymnastique,moi, les cours de français et de géographie. Depuis le décès inopiné de leur mère, leur vie a changé : les jumeaux partagent moins qu’avant leurs petites histoires, leur papa ne fait plus le sot comme avant et leur tante Amélie, une ancienne aventurière un brin grande gueule, prend soin de chacun pour panser leurs blessures. Ils peuvent évoquer leur maman quand ils le souhaitent, mais ils le font peu, leur père leur rappelle pourtant régulièrement qu’ils sont les enfants de la belle Monna Lisa… J’ai parfois l’impression que Papa fait semblantsemblant d’être joyeux, semblant d’être avec nous,semblant d’avoir le temps, semblant de nous parler,semblant de m’écouter, semblant d’être un papa. Il n’est vraiment ainsi que depuis le jour oùMaman n’est pas venue nous chercher à l’école. Il porte une tristesse à l’intérieur des yeuxqui ralentit ses gestes et même ses sourires. Mon père est écrivain de livres pour enfants.Il est poète aussi, mais ça ne se voit pas.Depuis qu’on est petits, je crois qu’il nous observeet met dans ses romans un petit peu de nous… Le nouvel opus de Karel Logist est un court récit écrit intégralement en alexandrins non rimés, qui confèrent un rythme légèrement poétique à l’histoire tout en la rendant accessible pour les jeunes lecteurs de 8-9 ans. Le titre Le jour où maman n’est pas venue nous chercher à l’école est quelque peu trompeur, il laisse présager une histoire qui commencera à la disparition de la mère, or il n’en est rien. Elle est absente depuis presque un an et nous lisons la nouvelle vie qui s’est organisée depuis cet événement douloureux. Outre le deuil auquel la famille fait face, la petite Isabel traverse un moment éprouvant, elle envoie des signaux maladroits de détresse que son frère ne peut pas décoder, trop petit qu’il est pour déceler la gravité de la situation. Les adultes verront-ils à temps la détresse d’Isabel pour la protéger du pire ? C’est ce que vous découvrirez dans cette histoire douce teintée de touches de mélancolie. Séverine Radoux Plus d’information Il y a un an, la maman de Basile et Isabel est morte dans un accident de voiture. Depuis, tante Amélie vit avec eux pour aider leur papa. Ils sont jumeaux et ont bientôt 12 ans. Isabel est enfermée dans sa chambre, elle pleure. Elle confie à Basile que monsieur Bruno, son instituteur, a confisqué son téléphone. De toute façon, plus rien ne va pour Isabel. Elle communique moins, est souvent triste ou fâchée, et ses notes baissent. Tout cela l'éloigne de Basile. D'une certaine manière, quand il a perdu sa maman, Basile a gagné son meilleur ami. Avec Ludo, il a inventé un jeu « danger sur la savane ». Tante Amélie s'inquiète pour Isabel, et leur papa également. Basile finit par en parler à Ludo, puisqu'il est le fils de monsieur Bruno, espérant récupérer le téléphone confisqué et le sourire de sa soeur. Mais rien ne se passe comme prévu : monsieur Bruno débarque à la maison et va parler avec les adultes. (fin : Il apparait qu'Isabel était harcelée par des filles jalouses de son téléphone. Elle va changer de classe et récupère son précieux engin. Avec leur père et Tante Amélie, ils vont jusqu'au cimetière et déposent un cadeau, secret lui aussi, pour leur maman.)…