La poésie actuelle en patois gaumais

RÉSUMÉ

Frontalière comme la Picardie, la Gaume reste également tournée vers la France. Son dialecte lorrain, essentiellement langue de vie, matérialise ce souci d’indépendnce vis-à-vis du wallon, de là, sans doute, l’opposition viscérale des écrivains régionaux à une orthographe euphonique imposée par l’Académie.La poésie suit le même « chemin de résistance ». Pour une activité créatrice, le contraire aurait étonné!32…

   lire la suite sur   Service du Livre Luxembourgeois
À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean JOANNES

Auteur de La poésie actuelle en patois gaumais

Jean Joannes a abordé des genres aussi différents que la poésie, le conte, les nouvelles, et même le roman.Très modeste, il refuse de se considérer comme un écrivain.La revue «Sincère» fut son oeuvre de 1964 à 1975. Il y a accueilli de nombreux jeunes talents.Son activité importante à l'ACD (Athlétic Club Dampicourt), l'a amené à bien connaître les milieux des sports, et plusieurs de ses ouvrages ont trait au sport ou se déroulent dans les milieux sportifs.Création des Éd. de la Joyeuserie en 1992. On trouve parmi les titres de la littérature en langue française, mais aussi en dialecte gaumais. Il s'agit d'édition artisanale : saisie, impression, reliure.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "La poésie actuelle en patois gaumais"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9174 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Du toucher. Essai sur Pierre Guyotat

Le point de départ d’un texte philosophique sur l’écriture…

Les influences anglo-saxonnes sur les lettres françaises de 1850 à 1880

À propos du livre Cette étude voudrait retracer l'action générale des influences anglo-saxonnes sur nos Lettres françaises de Belgique, de 1850 à 1880. L'Angleterre victorienne resplendit alors; les États-Unis conquièrent leur rang, imposent leur génie ; notre littérature, elle, malgré Van Hasselt, de Coster, Pirmez, semble marquer à peine sur la carte du Réalisme international. Il semble même que des temps ingrats soient revenus pour l'art, après ces années de 1815 à 1850, dont M. Gustave Chartier, dans Le Mouvement romantique en Belgique, a entrepris de révéler tout l'intérêt, montrant le dynamisme des influences étrangères et, parmi elles, des anglo-saxonnes. C'est le destin de ces dernières que nous suivons au cours des trois décades qui nous séparent encore de la Jeune-Belgique. Nous tenterons de dire leur sens dans sa plénitude, tel que nous le démêlons de l'écheveau cosmopolite et comme nous l'a livré l'analyse d'une vie intellectuelle, où littérature, philosophie et politique…