La Forêt de Liang Gang Niang est le second volume de La Légende de Pioung Fou.
Cette extraordinaire saga de la Palachine ancestrale serait l’œuvre de Beno Wa Zak, auteur également de la fameuse fable palachinoise Wa Zo Kong.
Les honorables lecteurs du livre I, L’Auberge de Tinong Binong, auront le plaisir d’y découvrir la suite des aventures de Pioung Fou et de son maître Ping Lou Bû.
Auteur et illustrateur de La légende de Pioung Fou (livre 1) : La Forêt de Liang Gang Niang
Né le 20 juin 1958 à Bruxelles
Communication graphique, Académie royale des Beaux-Arts, Bruxelles La Cambre, Bruxelles
Surtout pas de thème, encore moins de techniques et strictement aucune méthode de travail. Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Aide à la création, 2007 Lauréat du Grand Prix Triennal de Littérature de Jeunesse de la Fédéraion Wallonie-Bruxelles, 2012
Clarence Pitz est une habituée des sensations fortes, celles qu’elle génère chez ses lecteurs friands…
Lorsque Rascal se met à l’écriture. On connaissait les albums, il faudra désormais aussi compter sur les romans de Rascal. Voici un texte intimiste, sorte de journal ou de souvenirs au parfum d’autrefois. Au fil des saisons, en de courts chapitres le lecteur découvrir la vie quotidienne de Rose, une petite citadine. A chaque saison, elle revient à la campagne, chez ses grands-parents. Ici, comme des petites notes personnelles, elle y contient ses sentiments, ses secrets ou ses premiers amours. On sent le vent, l’odeur des feuilles en automne, la pluie sur les carreaux du train. Car ce texte est tout empli de nostalgie, du temps qui passe et qui, malgré les souvenirs, ne sera jamais retrouvé. On retiendra particulièrement les deux premières saisons : l’été, où Rose prépare, avec sa grand-mère complice, un bel anniversaire à son grand-père (il n’a jamais pris l’avion) ; l’automne avec cette étrange promenade en compagnie de son grand-père et cette photo dans une de ses poches (Rose pense que c’est la sienne). Ces passages sont d’une très belle tendresse. On est moins convaincu par les deux derniers chapitres : l’escapade hivernale durant la nuit, l’épisode du train et les premiers émois amoureux. Il n ‘empêche que ce premier roman reste d’une belle tenue, renforcée par de belles aquarelles couleur sépia de Nathalie Novi (où l’on croise pelle mêle, le facteur de Tati, un regard dans un rétroviseur, une nature morte sur une nappe aux carrés rouges).…
La mère de Raphaël et d’Anne-Laure vient de s’offrir un superbe caméscope. Tout va bien jusqu’à ce…