Entre mer et ciel, une femme bleue rêve d’un amour imaginaire-imaginé. Le temps coule entre ses doigts, la solitude au bord de ses lèvres. Qui est ce Ténébreux noyé dans la grisaille de la vie ? Où marche-t-il ? Que fait-il de ses mains ? De ses bras ? Se sont-ils croisés dans une ville inconnue, dans un autre espace-temps ? Ce frisson dans leur chair n’est-il pas ce frôlement d’aile qu’on nomme espérance ? Et cette attente, qui les consume et les pétrit, n’est-elle pas l’essence même de l’amour ?
Auteur de La femme bleue
Préface de Philippe Jones À propos du livre Mélot du Dy, né à Bruxelles en 1891, mort à Rixensart en 1956,…