Le jardin était d’orangers, l’ombre bleue, des oiseaux pépiaient dans les branches. Le grand…
Une des fonctions de la poésie est de trouver le point d’intensité des choses. La force…
Dans La confusion des visages, la poésie du philosophe-artiste Jacques Sojcher s’avance vers le plus nu. Nudité de la vie, nudité des mots pris dans le battement entre énonciation et mutisme, nudité d’un retour vers l’enfance. Composé de dix partitions poétiques, le recueil explore le paradoxe du verbe, à la fois passerelle — du moins promesse de passerelle — vers l’être et entrave au réel. Professeur émérite de philosophie et d’esthétique de l’Université Libre de Bruxelles, grand arpenteur des pensées de Nietzsche, de Lévinas, d’Artaud, de Jabès, auteur entre autres de Nietzsche. La question du sens, La démarche poétique, Paul Delvaux ou la passion puérile, Jacques Sojcher délivre dans ses textes et recueils poétiques (Le…
Le jardin était d’orangers, l’ombre bleue, des oiseaux pépiaient dans les branches. Le grand…
Une des fonctions de la poésie est de trouver le point d’intensité des choses. La force…
