Après La Route des Coquelicots, le couple d’écriture Véronique Biefnot-Francis Dannemark poursuit à deux plumes et avec vaillance sa marche décidée à travers le bonheur des coïncidences enchantées, des révélations et rebondissements opérationnels jusqu’aux dénouements gratifiants sinon miraculeux. Fidèle aussi à la simplicité de bon aloi qui imprègne le style des romans populaires. Si l’option, hautement revendiquée, est honorable et salubre, elle ressemble davantage à la jubilation d’un jeu de mains croisées qu’à une avancée littéraire, gourmandise dont, à tort ou à raison, la critique est friande. Quant à la précision très immédiate et descriptive des gestes, des comportements et des décors, elle évoque plutôt, avec intention ou non,…
Le concerto pour la main gauche
Bien des années après la Seconde Guerre mondiale, Gabriel et Tony se…
"Polders. Entre le ciel et l'eau, la lumière y est partout souveraine. Paysages…