Après La Route des Coquelicots, le couple d’écriture Véronique Biefnot-Francis Dannemark poursuit à deux plumes et avec vaillance sa marche décidée à travers le bonheur des coïncidences enchantées, des révélations et rebondissements opérationnels jusqu’aux dénouements gratifiants sinon miraculeux. Fidèle aussi à la simplicité de bon aloi qui imprègne le style des romans populaires. Si l’option, hautement revendiquée, est honorable et salubre, elle ressemble davantage à la jubilation d’un jeu de mains croisées qu’à une avancée littéraire, gourmandise dont, à tort ou à raison, la critique est friande. Quant à la précision très immédiate et descriptive des gestes, des comportements et des décors, elle évoque plutôt, avec intention ou non,…
L'écrivain Melvil Tournel se penche sur sa vie. Il décide à plus de cinquante ans de raconter…