Récit d’une vie ou autobiographie d’un rêveur, ce premier « roman » au ton très singulier s’égrène en chapitres qui sont autant d’états d’âme : « Je suis né dans une cour d’école ». « Je suis né le 13 septembre 2018 dans le bistrot des sorcières, Je suis né au bout d’une corde… » « Je suis né derrière un seul barreau ». « Je suis né après mes funérailles ». sur la place du village, à Vigneris-le-Maupont ».
Premier roman d’un jeune homme de quatre-vingt ans dont les lignes de vie et les lignes du rêve sont indissolublement liées.
Auteur de Je suis né comme un mourant
Il est des livres qui résistent aux attentes du lecteur. Impossible des les classer dans un genre, d’y déceler un déroulement convenu, de les résumer en quelques mots. La première publication d’André Dumont en relève assurément. Au fil des pages de Je suis né comme un mourant, le narrateur naît à onze reprises : « dans une cour d’école », « le 13 septembre 2018 », « au bord d’un fleuve », « au bout d’une corde », « derrière un seul barreau », « dans un rond de fumée », « pour [s]e poser des questions », « après [s]es funérailles », « devant sa fenêtre », « avec une phrase pour tout bagage », « comme un mourant ». Autant d’incarnations prétextes à des narrations irréelles, des invocations…
Louis et Augustin vont faire une blague à leurs parents. Ils vont inventer qu'ils sont partis au Canada…
Amsterdam, fin du XIXe siècle, Keetje a douze ans et arpente les rues de la ville. De la boucherie à l’atelier de la modiste…