La meilleure école d’écriture est la lecture, entend-on parfois. Peut-être traduire mène-t-il encore plus sûrement vers l’écrit ? La preuve par Emmanuèle Sandron qui publie un recueil de nouvelles, Je ne te mangerai tout de suite, où l’art de la narration se double d’une écriture ciselée.Après plus de dix ans de silence qu’elle a consacrés à des traductions multiples, Emmanuèle Sandron revient à son œuvre personnelle entamée avec trois ouvrages déjà publiés chez Luce Wilquin : Le double fond, Celtitude et Sarah Malcorps, court récit qui trouve écho dans ce recueil. La traduction d’une quinzaine de polars du Brugeois Pieter Aspe chez Albin Michel, mais aussi de nombreux romans pour la…
Padouk est trop malade pour survivre, il demande à ses amis, dont Jojo de la Jungle, de…
Comment trouver un bain à sa mesure, lorsqu’on est un géant « aussi grand qu’une montagne » ? Il y a bien longtemps, la question s’est posée à un géant qui vivait dans la région d’Imbabura et ne…