Jacques Cels apparaît comme un audacieux architecte du sens, dont les proses, le théâtre, les essais et les romans sont susceptibles de rendre celui qui part à leur rencontre, sinon meilleur, du moins plus averti pour se guider dans ce que Marguerite Yourcenar nommait «le labyrinthe du monde». Christophe Van Rossom relève ici le double pari de présenter un écrivain de style et de caractère, mais aussi de proposer, par le biais de l’analyse de l’œuvre, quelques clés qui permettent de l’aborder dans un perspective philosophique.
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