Il faut savoir choisir son chant : 108 poécontes


RÉSUMÉ

En Inde, on dit qu’il faut répéter 108 fois un mantra pour qu’il soit effectif. En réalité, 100 fois suffiraient, mais pour s’en assurer, on rajoute le chiffre 8 (celui de l’infini).
Ce livre est un voyage qui a débuté le 2 juillet 2016.
Un voyage dont je sus immédiatement qu’il compterait 108 poèmes, 108 chants, 108 perles d’un chapelet personnel et universel.
Très vite aussi, j’évaluai la durée de ce voyage : 4 ans. Car les textes venaient comme des offrandes, toujours. Parfois des mois s’écoulaient entre deux chants. Parfois juste quelques minutes ou quelques heures.
Tous ces textes ont été écrits d’un seul jet avant publication quasi immédiate sur Internet, sauf le dernier, que je conservai pour le livre.
Puis le tout fut relu, à voix haute, un matin clair de Toscane à l’été 2021.
À présent, les voici au seuil d’un nouveau voyage.
Merci d’en prendre soin comme de vous-mêmes.

 



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Le Carnet et les Instants

« Il avait levé les yeux pour contrôler l’état de la toiture. / Six cents trous de lumière perçaient les tuiles. / Entre chaque rayon / Son être entier / Riait. » Tel est le chant inaugural par lequel David Giannoni inaugure son recueil de « poécontes » (mot-valise à l’évidence poétique se passant d’explication). Au moment-même où ces mots ont été posés, l’évidence a surgi : ils constitueraient le début d’un voyage de « 108 poèmes, 108 chants, 108 variations d’un même chant, 108 perles d’un chapelet tout personnel et qui à la fois devait pouvoir se faire universel ». Giannoni a alors commencé une expérience tout en réceptivité qui durerait près de quatre ans. Accueillir le Verbe quand et comme il se présenterait,…


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