Fukushima

RÉSUMÉ

Le 11 mars 2011 vers 16 heures GMT, la centrale de Fukushima Daïchi au Japon, l’une des vingt-cinq plus grandes unités nucléaires existantes, est frappée coup sur coup par un terrible tremblement de terre (séisme de magnitude 9 sur l’échelle de Richter) et par le raz-de-marée qu’il a provoqué. L’humanité entière retient son souffle : la centrale est fortement endommagée, rejetant dans l’atmosphère et la mer des émanations dangereuses; personne ne semble pouvoir contenir la menace d’une…

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À PROPOS DE L'AUTEUR
Maurice Pickart

Auteur de Fukushima

Maurice Pickart est né à On (Marche-en-Famenne) le 17/07/1947 et habite actuellement à La Bruyère.- Humanités latin-mathématique à l'Athénée Royal de Marche-en-Famenne.- Ingénieur section éléctronique-automatismes ITPLg - Liège.- Directeur technique Craft S.A. à Herstal.- Directeur du département Idélux S.A. à Arlon.- Création de la société Stésud en 1986 à Marche-en-Famenne. Poursuite du développement et direction de la société jusqu'en 2006.- Développement de scenari multi-média sur différents thèmes historiques.- Nombreuses conférences sur une passion personnelle "Le Second Empire" et réalisation d'une présentation multi-média sur le thème (1 h 20) : images - son - vidéo.- Septembre 2006 : sortie d'un premier roman J'irai souffler sur vos éoliennes inspiré de l'évolution socio-économique de la Région wallonne et de sa volonté de réagir à la "politique scandale" en la matière.- En cours de préparation du film tiré du roman.

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À propos du livre (texte de l'Introduction) Lorsqu'on parcourt une histoire de la littérature belge de langue française, le chapitre consacré à cette époque particulièrement florissante, qui va de 1880 à la première guerre mondiale, frappe par l'éclosion soudaine de revues littéraires qui suivirent l'exemple de la Jeune Belgique. Dans la liste de ces revues plus ou moins éphémères, l'attention est attirée par la longévité surprenante de l'une d'elles, Durendal, revue catholique d'art et de littérature . Ce mensuel catholique parut pendant vingt ans, de 1894 à 1914, alors que la Jeune Belgique ne sortit de presse que durant seize années et que la Wallonie disparut au bout de sept ans. Quelle recette a donc permis à Durendal de garder si long-temps ses lecteurs? Et une seconde question vient à l'esprit : à quoi pouvait bien s'intéresser une revue littéraire catholique à un moment où la littérature catholique semble inexistante? Qui a fondé Durendal ? Quels étaient ses objectifs? Autant de questions sur lesquelles bien peu de critiques ou d'historiens littéraires se sont penchés. En faut-il davantage pour désirer examiner avec un peu d'attention cette revue et la sortir de l'oubli, comme ce fut fait autrefois pour la Jeune Belgique et la Wallonie ? C'est ce que nous allons essayer de faire : rechercher les origines de la revue, découvrir son but, analyser la manière dont elle l'atteignit et les raisons qui la maintinrent en vie au-delà de la durée moyenne d'existence des revues littéraires belges. Ce travail ne se veut pas exhaustif: beaucoup d'aspects devront malheureusement rester ignorés, principalement certains problèmes plus particulièrement artistiques qui sortent de nos compétences par leur caractère trop technique. Nous ne proposerons pas non plus, dans chaque chapitre, un relevé détaillé de tous les articles parus dans Durendal et traitant du sujet mais seulement les extraits les plus significatifs. La présentation typographique de la revue, son illustration de plus en plus abondante et le sommaire de chaque numéro ne nous paraissent pas mériter de longs développements. Il suffit de savoir qu'en 1894 chaque numéro comptait vingt pages, tandis que ce nombre…