Née le 26 mai 1966 à Charleroi
Licence en Traduction, E.I.I., Mons 3ème cycle en Traduction littéraire, C.E.T.L., Bruxelles
Je m’intéresse au cheminement des émotions aux labyrinthes du sens et à la musique de la langue. J’écris et je traduis aussi pour les adultes.
La meilleure école d’écriture est la lecture, entend-on parfois. Peut-être traduire mène-t-il encore plus sûrement vers l’écrit ? La preuve par Emmanuèle Sandron qui publie un recueil de nouvelles, Je ne te mangerai tout de suite, où l’art de la narration se double d’une écriture ciselée.Après plus de dix ans de silence qu’elle a consacrés à des traductions multiples, Emmanuèle Sandron revient à son œuvre personnelle entamée avec trois ouvrages déjà publiés chez Luce Wilquin : Le double fond, Celtitude et Sarah Malcorps, court récit qui trouve écho dans ce recueil. La traduction d’une quinzaine de polars du Brugeois Pieter Aspe chez Albin Michel, mais aussi de nombreux romans pour la jeunesse, a apporté à Emmanuèle Sandron une maturité d’écriture…