Escrocs et voleurs à travers le temps


RÉSUMÉ

Récits authentiques


À PROPOS DE L'AUTEUR
Philippe Remy-Wilkin
Auteur de Escrocs et voleurs à travers le temps
Qui suis-je ? J’ai été conçu au Congo belge, je suis né à Bruxelles le 26/02/61, mais mon cœur flotte entre Tournai (où j’ai passé 18 ans de ma vie) et Uccle. Je partage ma vie avec Gisèle depuis… 1981 et avec notre fils Julien-Paul depuis 1991. J’ai obtenu une licence en philologie romane et l’agrégation (Université Libre de Bruxelles, en 83) mais j’ai délaissé l’enseignement pour un emploi administratif en soirée qui me permet d’écrire tous les jours, de 7h à 15h. Mon rapport à l’écriture ? Avant d'être un plaisir, l'écriture est une nécessité. J'écris, je raconte, donc je suis. Depuis… l’âge de six ans ! Je n'ai jamais arrêté, même s'il m'arrive de douter. Je professe le culte de la Création, de l'Art. La musique, la littérature, le cinéma, la BD, la peinture, l'architecture… Comme le maître Golding, je pense qu'il ne s'agit pas là d'activités contingentes mais d'une médiation fondamentale entre les hommes et la découverte, l'approfondissement de leur humanité. Et je me devine un rôle de passerelle, d'‘éveilleur en douceur’. Une arrière-pensée qui me guide dans le choix de mes articles, de mes scénarios, de mes essais, de mes nouvelles, de mes contes ou de mes romans. Car si j'accepte avec joie certaines commandes ou certaines collaborations, j'en refuse d'autres sans sourciller. Mais j’apprécie l’éclectisme : je travaille pour la revue littéraire ‘Indications’, j’ai créé un concours de nouvelles historiques dans le cadre de ‘Tournai la page’, etc. Où me situer ? Je crois que je suis à la fois romancier et écrivain, deux métiers que je distingue nettement. Car on déguste une page d’écrivain (Proust, Modiano ou… Roegiers) mais on dévore un chapitre de romancier (Grangé, Werber…). L’un se préoccupe de ce qu’il raconte et l’autre de la manière dont il rapporte. Ma nature hybride me porte vers les œuvres qui marient les plaisirs de la narration avec les délices du fond, de la forme. Ainsi, mes phares sont-ils "L'épopée de Gilgamesh", "L'Odyssée" ou "Œdipe", "La Bible" ou "Le roman de Perceval". Shakespeare. "Le Puits et le pendule" de Poe, "Les élixirs du diable" d'Hoffmann ou Wilkie Collins, bien sûr, que j'aime comme un père. "Dracula" ou "Sa majesté des mouches". Palliser ou Fowles, mille fois au-dessus d'un Eco. 2 ŒUVRES QUE JE SOUHAITE FAIRE CONNAÎTRE Tout James Ellroy, surtout "Le Dahlia noir" Rossano Rosi, De gré de force 1 LIVRE DE MA BIBLIOGRAPHIE La Chambre close

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Escrocs et voleurs à travers le temps"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 10367 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Belgiques

La collection «  Belgiques  » des éditions Ker poursuit son auscultation d’un pays multiple,…

Comment regarder plus loin : Onze rencontres entre science et littérature

La collection « La tortue de Zénon », aux éditions de L’arbre de Diane, crée à nouveau des étincelles harmonieuses entre littérature et science, elles qui inscrivent de concert la beauté «  au cœur [de leur ] processus créatif  », comme le souligne d’emblée l’éditrice Mélanie Godin. Dans Comment regarder plus loin , onze autrices attirent chacune dans leurs paumes une femme de science, qui a éclairé le monde d’antan ou d’aujourd’hui. Ces destins de femmes scientifiques, étudiés par ces autrices, dessinent une large constellation, composée de disciplines (sciences du climat, géodésie et sismologie, physique spatiale, astronomie, mathématiques, pathologie moléculaire des plantes, génétique, médecine et chirurgie, neuro-rééducation) et de contrées (Belgique, Danemark, France, Angleterre, Allemagne, Etats-Unis, Ethiopie, Italie) variées. Renouvelée, la narration est multiple tant chaque autrice assume une manière de rencontrer l’autre. Si une adresse en « tu » est préférée par deux d’entre elles ( Charlotte Biron , Lisette Lombé ), une troisième y met les formes épistolaires ( Veronika Mabardi ). Gaël Octavia et Beata Umubyeyi Mairesse optent quant à elle pour d’autres procédés : la première se place dans les chaussures d’une autre scientifique, Mileva Maric, pour converser avec celle qui lui a été confiée, Emmy Noether tandis que la seconde instaure le cadre du conte, qu’une femme dispense quotidiennement à ses enfants, au sujet de la scientifique mise à l’honneur dans cette nouvelle (Segenet Kelemu). Enfin, Fabienne Radi laisse transparaitre les coutures de la création de son texte : elle dévoile les préambules pragmatiques d’une rencontre, via la recension de nombreux profils LinkedIn identiques, et épingle les aléas d’une rencontre en visio, tributaire de la concentration de ses parties, en proie aux pensées et musique intrusives.Les amorces de la curiosité de ces différentes scientifiques éblouissent de poésie et rappellent la simplicité première d’une recherche scientifique (découvrir ce qu’il y a à l’intérieur du noir, pour Cecilia Payne, scrutée par Anne Penders ; s’intéresser aux choses invisibles, pour Inge Lehmann, approchée par Christine Van Acker ), dont les résultats nous parviennent souvent percés d’erreurs, ce que ces rencontres corrigent (Lisette Lombé, aux côtés d’Aurore Thibaut). De ces frottements scientifiques jaillissent alors des apprentissages majestueux : les «  narrations secrètes  », au cœur des arbres-archives, qui gardent la mémoire du feu ou du jet stream, font rêver ( Ysaline Parisis , à l’écoute de Valerie Trouet). Nourries de cette réception multisensorielle du savoir, ces artistes ressentent aussi les frétillements de la création : écouter la «  trajectoire contée  » de Miho Janvier, celle de son «  dialogue avec l’univers  », déclenche chez Victoire de Changy des poèmes filés dans les airs. Les recherches de Priyanka Priyadarshini mettent Fabienne Radi sur la voie d’un rapprochement magique, entre l’or réparateur à l’œuvre dans le Kintsugi japonais, et la protéine MRX, réparatrice de brins d’ADN cassés, augurant d’un potentiel poème figeant cette alliance.Autrices et scientifiques détiennent un objectif commun, un fantasme de cabane, renfermant leurs intérêts les plus chers. Si les autrices créent chacune une nouvelle dense, close, révélatrice d’un large travail en amont, les scientifiques reviennent sur l’espace qu’il faut dégager pour sonder un phénomène, sur l’effacement volontaire de tout ce qui n’est pas étudié, créant un espace de jeu exclusif, qui concentre toute l’attention. Plus que d’effacer les vitres des fleuristes ou des vendeurs de bibelot pour offrir un écrin brut et net à une éclipse lunaire, Faustine Cantalloube fait de la fuite un prérequis nécessaire au travail sur des «  outils qui captent la lumière dans l’immensité  ». Une image choisit la scientifique et «  se pose, enclume, dans [sa ] tête  ». Les sciences et la littérature résultent de ces passions exclusives, de ce temps versé dans une obsession.Chaque parcours de vie, déroulé par ces autrices, appelle à sinuer dans ceux qui les habitent et des liens qui ne peuvent plus être tissés humainement s’échafaudent joyeusement (Veronika Mabardi et Trotula de Salerne). On les voit, ces onze femmes, et toutes, souvent heurtées à l’invisibilisation de leur talent (Mary Tsingou, mise en lumière par Isabelle Dumont ), sont désormais brandies par onze autres femmes, dans des nouvelles fascinantes. Cette guirlande de papier, plaçant dans l’exact même axe science et littérature, appelle résolument à être complétée. Fanny Lamby Comment regarder plus loin explore le monde des femmes, de la création et des sciences. Quelle est la vie au quotidien des scientifiques? Comment entendre, ressentir, rêver le monde des mathématiques ? Son langage dit-il autre chose de notre monde ou en crée-t-il un autre ? Qui sont celles qui les pensent, les créent ou les révèlent ? Dans cette collection de nouvelles, des autrices contemporaines proposent des textes de création imaginant des fragments de vie de femmes scientifiques. Certaines ont marqués l’histoire, mais sont oubliées, d’autres sont des scientifiques actuelles. Notre proposition se veut à la fois poétique, mystérieuse, réparatrice, ambitieuse et ludique, une passerelle entre deux mondes de la création au féminin.   Beata Umubyeyi Mairesse sur Segenet Kelemu Charlotte Biron sur Faustine Cantalloube Fabienne Radi sur Priyanka Priyadarshini Lisette Lombé sur Aurore Thibaut Victoire de Changy sur Miho Janvier Ysaline Parisis sur Valérie Trouet Anne Penders sur Cecilia Payne Isabelle Dumont sur Marie Tsingou Veronika Mabardi sur Trotula de Salerne Christine Van Acker sur Inge Lehmann Gaël Octavia sur…