On voudrait y croire encore, on voudrait y croire toujours que : l’amour est le plus beau, le plus pur des sentiments, la divine idylle peut nous apporter le bonheur, nous emporter loin de la vie laborieuse, dispendieuse. On voudrait et puis des écrivains, des intellectuels brisent nos rêves. Ils nous font perdre espoir. Mais peut-être que sans espoir – ce qui ne signifie pas le désespoir – peut-on affronter la réalité au mieux, dans toutes ses dimensions. C’est ce que semble dire le philosophe François De Smet à la fin d’Éros capital, que ce que nous venons de lire « ne nous emprisonne dans aucun déterminisme ». On ajoutera : peut-être qu’il nous en libère. Mais que venons-nous de lire ?
Un essai nourri à la fois des sciences naturelles,…
À propos du livre (4e de couverture) Les historiens contemporains des lettres françaises de Belgique…
Ni pardon, ni talion : la question de l'impunité dans les crimes contre l'humanité
Une analyse critique de la justice en matière de crime contre l'humanité. Selon l'auteur, à la fois nécessaires et insuffisantes, les institutions judiciaires ne peuvent être que le point de départ d'une lutte plus vaste contre la barbarie universelle, fondée sur un consensus sur le droit de l'être humain, une éducation…