On voudrait y croire encore, on voudrait y croire toujours que : l’amour est le plus beau, le plus pur des sentiments, la divine idylle peut nous apporter le bonheur, nous emporter loin de la vie laborieuse, dispendieuse. On voudrait et puis des écrivains, des intellectuels brisent nos rêves. Ils nous font perdre espoir. Mais peut-être que sans espoir – ce qui ne signifie pas le désespoir – peut-on affronter la réalité au mieux, dans toutes ses dimensions. C’est ce que semble dire le philosophe François De Smet à la fin d’Éros capital, que ce que nous venons de lire « ne nous emprisonne dans aucun déterminisme ». On ajoutera : peut-être qu’il nous en libère. Mais que venons-nous de lire ?
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