En première ligne. Le journalisme au coeur des conflits | Objectif plumes

En première ligne. Le journalisme au coeur des conflits

RÉSUMÉ

Les temps ont changé depuis l’ « invention » du métier de correspondant de guerre par l’envoyé spécial du Times en Crimée en 1854. Les nouvelles technologies et les réseaux sociaux ont révolutionné l’écosystème médiatique. Pourtant, pour le journaliste, l’essence de sa mission reste la même : aller sur le terrain, au plus près des lignes de front; vérifier, valider ; contester la censure et contrer la propagande; ouvrir le grand angle sur le contexte social, culturel, géopolitique…

   lire la suite sur   Service du Livre Luxembourgeois
À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean-Paul Marthoz

Auteur de En première ligne. Le journalisme au coeur des conflits

Jean-Paul Marthoz, journaliste, chroniqueur au Soir (Bruxelles), correspondant en Europe du Committee to Protect Journalists (New York). Professeur de journalisme international à l'Université de Louvain. Il est l'auteur de nombreux ouvrages sur le journalisme et les relations internationales.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "En première ligne. Le journalisme au coeur des conflits"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9174 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Ni pardon, ni talion : la question de l'impunité dans les crimes contre l'humanité

Une analyse critique de la justice en matière de crime contre l'humanité. Selon l'auteur, à la fois nécessaires et insuffisantes, les institutions judiciaires ne peuvent être que le point de départ d'une lutte plus vaste contre la barbarie universelle, fondée sur un consensus sur le droit de l'être humain, une éducation…

Les influences anglo-saxonnes sur les lettres françaises de 1850 à 1880

À propos du livre Cette étude voudrait retracer l'action générale des influences anglo-saxonnes sur nos Lettres françaises de Belgique, de 1850 à 1880. L'Angleterre victorienne resplendit alors; les États-Unis conquièrent leur rang, imposent leur génie ; notre littérature, elle, malgré Van Hasselt, de Coster, Pirmez, semble marquer à peine sur la carte du Réalisme international. Il semble même que des temps ingrats soient revenus pour l'art, après ces années de 1815 à 1850, dont M. Gustave Chartier, dans Le Mouvement romantique en Belgique, a entrepris de révéler tout l'intérêt, montrant le dynamisme des influences étrangères et, parmi elles, des anglo-saxonnes. C'est le destin de ces dernières que nous suivons au cours des trois décades qui nous séparent encore de la Jeune-Belgique. Nous tenterons de dire leur sens dans sa plénitude, tel que nous le démêlons de l'écheveau cosmopolite et comme nous l'a livré l'analyse d'une vie intellectuelle, où littérature, philosophie et politique…