Doit-on considérer, comme il est généralement admis, qu’une « sortie » implique nécessairement un rejet radical des structures que l’on quitte ? Voire même que ce « rejet » en est l’instigateur ? Le Land Art est-il réellement fondé sur le rejet des structures en place, et notamment du marché ? Mais surtout, quelles furent, quelles sont les relations que les artistes de cette mouvance entretiennent avec le système de monstration de l’art et le marché de l’art en particulier ? À travers l’étude de ces relations, l’auteur suggère que la question du retour est peut-être toujours déjà là dans le déplacement/voyage des artistes comme dans l’intention même qu’ils avaient de sortir de l’atelier.
Auteur de En chemin : Le land art (volume 2) : Revenir
Ni pardon, ni talion : la question de l'impunité dans les crimes contre l'humanité
Une analyse critique de la justice en matière de crime contre l'humanité. Selon l'auteur, à la fois nécessaires et insuffisantes, les institutions judiciaires ne peuvent être que le point de départ d'une lutte plus vaste contre la barbarie universelle, fondée sur un consensus sur le droit de l'être humain, une éducation…