Du fantastique à ses subversions dans la littérature belge francophone


RÉSUMÉ

Pour beaucoup, et de longue date, fantastique rime avec Belgique, au point de devenir un poncif. Or le rapport des écrivains belges francophones à ce « genre » ou plutôt à ce type d’imaginaire se révèle complexe et n’est pas dépourvu d’ambiguïtés. Issus d’un éventail d’universités européennes, dix-sept chercheurs proposent des études qui s’attachent aux formes de distanciation vis-à-vis des canons vrais ou supposés du fantastique. Et ce, par le biais de l’humour, de l’ironie, voire de la parodie.





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Le Carnet et les Instants

Si le terme « fantastiqueur » a été forgé par Théophile Gautier en pleine apogée du romantisme français (en 1831 !) à propos de l’Allemand Hoffmann, c’est sans conteste à Jean-Baptiste Baronian que l’on doit sa complète intronisation dans le domaine des études littéraires. En appliquant ce substantif à plusieurs écrivains, Baronian circonscrivait une « école belge de l’étrange » dont les principaux représentants se nommaient Jean Ray, Jacques Sternberg, Jean Muno…D’assez limitée au départ, la photo de groupe s’est considérablement élargie lorsqu’il est apparu que « le fantastique se définit […] comme une écriture plutôt que comme un genre ». C’est à Jacques De Decker que l’on doit…


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