Réussir sa mort n’est pas chose aisée. C’est ce que va découvrir Robin, un écrivain à succès, qui décède suite à une maladie et pense accéder au repos tant attendu.
Confiné dans un endroit étrange et clos, il observe le monde des vivants, accède aux pensées les plus intimes de sa femme et tente de trouver une issue à cette mort bien peu banale.
Ève, sa veuve, s’accroche à une vieille promesse qu’il lui a faite et quitte leur vie bourgeoise pour un petit village de montagne.
À travers l’histoire de divers personnages, morts et vivants, entre qui la vie a tissé des fils invisibles, Ève et Robin comprendront qu’émotionnellement, ils ont le choix. Dans la vie comme dans la mort. Véritable hymne à la vie, ce livre tendre et optimiste, apporte un autre éclairage sur les liens que nous entretenons avec notre passé qui, si souvent, nous empêche de vivre pleinement notre présent.
Autrice de Double vie d'un papillon
Molière : Le Malade Imaginaire est mort il y a 350 ans (L’Article n°29)
Editorial de Maxime Lamiroy : Pour rendre hommage à Molière, Gaëtan Faucer se met en scène dans une pièce cocasse qui lui donne l’occasion de souligner l’importance du groupe, c’est-à-dire de la troupe. Le drame du comédien est de jouer seul sans public. La comédie est en effet une affaire publique, même d’État quand elle se joue devant le Roi. L’hommage au dramaturge ne peut qu’inévitablement devenir hommage à l’art théâtral, Gaëtan Faucer insère dans son texte plusieurs sentences bien connues sur le théâtre. Le tout forme une pièce pimpante digne du rythme des célèbres Fourberies de Scapin . Une mise en abîme réussie pour « un malade qui se porte comme un charme ». Pour rendre hommage à Molière, Gaëtan Faucer se met en scène dans une pièce cocasse qui lui donne l’occasion de souligner l’importance du groupe, c’est-à-dire de la troupe. Le drame du comédien est de jouer seul sans public. La comédie est en effet une affaire publique, même d’État quand elle se joue devant le Roi. L’hommage au dramaturge ne peut qu’inévitablement devenir hommage à l’art théâtral, Gaëtan Faucer insère dans son texte plusieurs sentences bien connues sur le théâtre. Le tout forme une pièce pimpante digne du rythme des célèbres Fourberies de Scapin. Une mise en abîme réussie pour « un malade…