Il était un petit homme, didlidom, et une petite dame, didlidam qui étaient voisins. Un arbre aux fruits dorés sépare leurs maisons. Mais un jour, nondidoum nondidom, « Petite Dame prend plus de fruits que moi » dit Petit Homme. Nondidoum, nondidam, Petite Dame n’est pas d’accord.
Points forts :
– L’univers coloré et proche de l’enfance de Sabine De Greef ;
– L’histoire crescendo et l’usage de l’absurde ;
– Une comptine et fable écologique sur l’importance de la solidarité et du partage.
Autrice et illustratrice de Didlidam didlidom
À quoi rêvent les crayons le soir, au fond des cartables ?
« Tous les enfants rêvent de devenir grands. Tous les crayons rêvent de devenir petits. » Le soir, dans le fond des cartables, les crayons rêvent. Mais à quoi ? Ils songent et écrivent des mots, des mots inventés ou des mots croisés. Ils s’imaginent en train de composer les couleurs de l’arc-en-ciel ou de rétrécir tant ils sont utilisés. Car finalement, c’est leur but ultime : laisser une trace et devenir des souvenirs. Cet album accessible est une véritable invitation à laisser voyager son imagination. Chaque page est bien dosée par le texte poétique de Zidrou et subtilement illustrée grâce au crayonné de David Merveille mélangé aux photographies de Françoise Robert. Ces trois artistes ont combiné avec talent les sonorités, les rythmes, les mots, les images, les sensations et les émotions. L’alchimie donne vie aux différents crayons représentés et à leurs aspirations. Tout naturellement, le lecteur prend le chemin des mots et les relit plusieurs fois, dans le but de s’imprégner encore plus. Il en demande, encore et encore ! À son tour de répondre à la question : « Au fond des cartables, à quoi rêvent ses propres crayons ? » (Nathalie Bouillot) Le soir, au fond des cartables, les crayons rêvent... Ils rêvent d'écrire des mots d'amour,…
Un bestiaire à trou autour de quatre des sens : la vue, l'odorat, l'ouïe, le…