Le premier texte se fonde sur les mouvements les plus intimes de la vie organique de l’écrivain. Dans le second texte, celui-ci s’adresse à une interlocutrice imaginaire pour se soumettre à un ultime entretien.
Auteur de Des hallalis dans les alléluias : regard sur une vie secouée de verbe, outre ses mouvements de bascule en un abysse fait femme
Un roman sur la mort ? Absolument pas ! Plutôt optimiste. Et si la mort ne ressemblait…
Sandrine se réveille un matin dans sa maison d’enfance où trônent les objets et les meubles…
D’Emmanuel Carrère à Maria Pourchet en passant par Catherine Millet, les mères des écrivains seront l’un…