Cowabunga

RÉSUMÉ

Alors qu’il fait du skate-board dans la rue avec son ami Cédric, Max, 10 ans, se fait mordre par un chien errant. Mais sa mère intervient et le sauve. Version remaniée d’une histoire autobiographique créée lors de l’édition 2011 des 24 heures du site grandpapier.org.

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Cowabunga
Cowabunga

Première édition
Éditeur : L'employé du moi
Date : 2013
Format : Livre

À PROPOS DE L'AUTEUR
Max de Radiguès

Auteur et illustrateur de Cowabunga

Né en Belgique en 1982, Max de Radiguès est auteur de bande dessinée, éditeur à l’employé du Moi et directeur de collection chez Sarbacane. Il a passé un an de résidence au prestigieux Center for Cartoon Studies, à White River Junction – Vermont, en 2009. Depuis il a publié de nombreuses bande dessinée pour les jeunes et/ou les adultes. En plus de ses livres, il multiplie les expériences par la publication en ligne et le fanzinat. Ses projets, comme L’âge dur, Orignal et Bâtard, paraissent en fanzines mensuels envoyés par la poste aux lecteurs avant de devenir des livres. A trois reprises, dans la sélection officielle Festival International de bande dessinée d’Angoulême, c’est avec Bâtard chez Casterman qu’il reçoit Le Prix des Lycéens du festival et le Prix Polar SNCF. Il travaille dans un grand atelier à  Bruxelles, Het Geslepen Potloden, où se mélangent dessinateurs néerlandophones et francophones.

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Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…