Cowabunga


RÉSUMÉ

Alors qu’il fait du skate-board dans la rue avec son ami Cédric, Max, 10 ans, se fait mordre par un chien errant. Mais sa mère intervient et le sauve. Version remaniée d’une histoire autobiographique créée lors de l’édition 2011 des 24 heures du site grandpapier.org.


À PROPOS DE L'AUTEUR
Max de Radiguès
Auteur et illustrateur de Cowabunga
Né en Belgique en 1982, Max de Radiguès est auteur de bande dessinée, éditeur à l’employé du Moi et directeur de collection chez Sarbacane. Il a passé un an de résidence au prestigieux Center for Cartoon Studies, à White River Junction – Vermont, en 2009. Depuis il a publié de nombreuses bande dessinée pour les jeunes et/ou les adultes. En plus de ses livres, il multiplie les expériences par la publication en ligne et le fanzinat. Ses projets, comme L’âge dur, Orignal et Bâtard, paraissent en fanzines mensuels envoyés par la poste aux lecteurs avant de devenir des livres. A trois reprises, dans la sélection officielle Festival International de bande dessinée d’Angoulême, c’est avec Bâtard chez Casterman qu’il reçoit Le Prix des Lycéens du festival et le Prix Polar SNCF. Il travaille dans un grand atelier à  Bruxelles, Het Geslepen Potloden, où se mélangent dessinateurs néerlandophones et francophones.

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Klimt

Vienne, 1907. Le peintre Gustav Klimt rend visite aux époux Bloch-Bauer. Ferdinand demande alors à Gustav de réaliser le portrait de sa femme, Adèle ; requête entraînant un flashback. Six ans auparavant, alors que Klimt essuyait des critiques acerbes au sujet de son œuvre La Médecine , il a rencontré ce couple, admirateur de son génie et dont la femme l’a prié de lui ouvrir les portes de son atelier. Au même moment, l’artiste recevait en rêve l’inspiration pour son prochain tableau. C’est par ce prisme que l’on entre dans l’univers de l’artiste : son atelier, ses modèles, sa mère, sa compagne, Émilie, mais aussi ses rêves, ses angoisses, ses sources d’inspiration en somme. L’histoire narrée en bande dessinée par Cornette et Marc-Renier est une tranche de vie, prétexte à l’évocation du peintre, de son style, de son époque et de l’avant-gardisme dont il y faisait preuve. L’idée est en effet plus de mettre en avant ses particularités que de réaliser sa biographie. Le récit est assez simple et aurait peu d’intérêt sans l’aspect « inspiré de faits réels », mais n’en est pas moins cohérent et bien rythmé.Les dessins sont soigneusement détaillés. Le rendu est classique, avec un crayonné assez fort accentuant les sujets principaux. Les travaux de Klimt évoqués sont réinterprétés plutôt que cités et le résultat est réussi et efficace : le redesign des œuvres permet une intégration fluide dans les cases tout en invitant à les découvrir sous un angle neuf.Le récit principal est suivi d’un court cahier didactique sur Gustav Klimt. Il complète la bande dessinée en développant quelques sujets qu’elle évoque. On y voit notamment des reproductions des œuvres évoquées dans l’album. Ainsi, le lecteur a à portée de main de quoi satisfaire sa curiosité, titillée par l’histoire racontée en images et phylactères.La bande dessinée Klimt est une introduction sympathique à l’œuvre de l’artiste. Les connaisseurs n’apprendront probablement pas grand-chose, là où les néophytes apprécieront l’accessibilité du propos et les informations proposées en fin d’ouvrage. Les visuels soignés plairont aux amateurs de bande dessinée traditionnelle, alors que l’histoire…