Il y a vingt ans déjà, Michel Goldblat avait publié chez Plon D’amour et d’ordure que l’on avait pu qualifier d’ « ébouriffant ». Il revient avec Ce qui manque à Amédée, un roman à l’humour drolatique sous forme de parcours initiatique découpé en courtes séquences chronologiques progressant de la naissance à l’âge adulte dudit Amédée.Ce qu’il lui manque ? Un cœur. L’organe. Il est né sans – miracle de la médecine. L’organe et ce qui l’accompagne surtout : émotions et sentiments. Le prénom choisi par ses parents aurait dû le prémunir de ce manque, qui signifie « aimé des dieux ». Sauf que, par une cruelle ironie, ceux qui se sont penchés sur sa conception se sont bien moqués : Amédée…
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