« Il n’y a ni coupable ni victime dans cette histoire. Il n’y a pas d’explication pour les histoires qui se terminent mal. J’ai assisté impuissante à la fin d’un amour qui m’avait servi de modèle, puis de repoussoir. Il n’y a que l’absence si longue, cette difficulté à dire et cette incapacité à se taire. Et si mon père ou ma mère avait survécu, avait tué sans se donner la mort? Je sais, bien sûr, que lui n’aurait jamais tiré. Il a été trop aimé et elle pas assez. Elle ne pouvait plus voir le monde sans les yeux qu’elle avait adulés. Elle a levé son arme, une belle matinée de juillet. Un samedi paresseux où l’on s’apprête à ne rien faire. »
Auteur de Ça ne se fait pas
Un village isolé, un bourg minuscule, frappé d’un hiver rigoureux qui le coupe de tout autre…
Mais qui l'avait muté dans ce département, antichambre de la retraite où s'entremêlait…
"Paul Corneille avait quarante ans, on lui en donnait cinquante, et cependant…