La modernité de Constantin Brancusi réside incontestablement dans l’usage singulier de la photographie, qu’il fit en toute indépendance de ses amis photographes Edward Steichen et Man Ray, entre autres, comme révélateur de son œuvre. Loin d’être de nature documentaire voire anecdotique, le recours à la photographie aura permis à Brancusi d’affiner l’œil du sculpteur en intégrant le point de vue mobile du spectateur à l’acte créateur. L’atelier devient alors non plus le lieu ni le prolongement mais l’essence même de l’œuvre totale et mouvante, appréhendée suivant le concept de « groupe mobile ».
Auteur de Brancusi, la photographie ou L'atelier comme groupe mobile
Préface de Jean Tordeur Textes de Jacques Detemmerman, Georges-Henri Dumont , Philippe Jones , Raymond Troussson À propos du livre (4e de couverture) Quelque soixante ans après sa mort (1936), la personnalité…
Une autre lecture du début de la Bible est possible à partir du texte hébreu original.…