J’aimerais m’abandonner dans les bras de la mort Comme dans les bras d’un orgasme absolu Alors je m’y prépare Diaphane vertige J’ai la vie pour jouir M’entraîner à pénétrer dans ce plaisir incertain Une couronne à mes pieds Là où la moelle s’écroule du crâne jusqu’au bassin structuré comme un papillon prêt à s’envoler Comme un Bouddha d’os lové en soi.
Préface de Philippe Jones À propos du livre Mélot du Dy, né à Bruxelles en 1891, mort à Rixensart en 1956,…
« La poésie est comme la philosophie – ou devrait au moins faire comme elle,…