Belgiques : Être ou ne pas être

RÉSUMÉ

Sommaire :
Jacques Ulenspiegel
Clovis, ou la première pièce du puzzle
Les hosties sanglantes
Le cœur du lion
Hallali pour la Lalaing
Belgiques !
Charles aux étangs
Juliette des esprits
Les philosophes amateurs
Beersel, ou les démons du paradis
La nuit des couteaux
Récit avorté, ou à rebours vers l’illumination
Anderlecht, ou le retour des Dix-Sept Provinces
Nestor, ou les fantômes de la ligne claire
Vertige !
Senne de ménage
Belgoland

À PROPOS DE L'AUTEUR
Philippe Remy-Wilkin

Auteur de Belgiques : Être ou ne pas être

J’ai été conçu en Afrique, suis né à Bruxelles mais ai passé toute ma jeunesse dans le Tournaisis. Je tente d’y lire une prédisposition pour ce qui m’a toujours animé, soit un grand écart entre passion du grand large et souci des racines, de l’intime. Ce qui me mènera à animer des feuilletons sur l’histoire du cinéma ou sur l’édition belge ; à écrire sur Colomb et Gilgamesh, mais sur Bruxelles et Tournai aussi. J’ai rejoint ma ville natale pour des études à l’ULB (philologie), m’y suis marié (1986, un fils né en 1991) et fixé, remisant licence/agrégation pour organiser ma vie autour de la création, y juxtaposant deux autres vies, un boulot administratif en soirée, une activité intense de médiateur culturel (articles ou dossiers dans Le Carnet et les Instants, Les Belles Phrases, Karoo/Indications, etc. ; chroniques mensuelles sur Radio Air-Libre). Ma passion de l’écriture, je la décline sous toutes ses formes, avec, en filigrane, deux invariants : l’Histoire et le goût du récit palpitant. Des scénarios, des nouvelles, des études historiques, des recueils de récits authentiques, des contes illustrés, des romans, des articles. Publiés à Paris, Bruxelles, Genève, Milan, etc. Le tout sans préjugé, passant d’une grande maison (Phébus, Bayard, etc.) à une petite structure indépendante, et inversement, au gré des adéquations. Signe distinctif : je tente d’élaborer un cycle romanesque conjuguant une littérarité européenne avec la capacité narrative anglo-saxonne… tout en donnant des couleurs à une identité belge ouverte.  
NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Avec 28 titres au compteur à ce jour, la collection Belgiques lancée par les éditions Ker apporte sa pierre à l’élaboration d’un portrait original de notre pays. La dernière salve compte cinq auteur et autrices dont Philippe Remy-Wilkin, aux côtés de Véronique Biefnot, Jean-Claude Bologne, Liliane Schraûwen et Nathalie Stalmans.La bibliographie de Philippe Remy-Wilkin est déjà impressionnante. Parmi les lignes maîtresses de son œuvre, on constate un attrait marqué pour l’Histoire et, en particulier, ses zones d’ombres. L’écrivain belge n’a pas peur des défis et aime entraîner son lecteur dans des époques méconnues de l’histoire, aux croisements des mythes, idéologies et philosophies. On se souvient de son roman L’œuvre de Caïn,…


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Pour découvrir l'oeuvre d'Erik Satie à travers une histoire et des extraits des plus célèbres pièces du compositeur. Mélancolique et triste à souhait, cet album-CD n’en est pas moins magnifique. Parler d’Erik Satie - le solitaire, le marginal, l’excentrique souvent incompris -impliquait un ton décalé, gentiment moqueur et grinçant, que rend très bien la voix du récitant François Morel (qui doit sa célébrité, rappelons-le, à l’émission télévisée des Deschiens sur Canal +). Ce n’est pas une araignée au plafond mais juste un petit piano que Monsieur Satie a dans la tête. Les notes de musique y trottent, y vagabondent sans relâche. Il est audacieux, anticonformiste, se moque du wagnérisme et des vaniteux. De son cœur s’échappent des mélodies simples pour rêveurs et poètes, un public qui lui ressemble. « Monsieur Satie parle parfois à la lune. » Et parfois aussi, « Monsieur Satie met son smoking pour écrire une partition. » Il compose, explore, mélange les genres au risque d’être méprisé. Certains l’admirent cependant, comme Cocteau ou Picasso. L’illustratrice Elodie Nouhen évoque bien l’esprit des surréalistes et la solitude du petit monsieur perdu dans le tourbillon des notes. Touches de piano, métronome, partitions…sont surdimensionnés par rapport au musicien qui ne semble pas plus haut que trois chapeaux. Ce que Raymond Lulle appelait « la tristesse par surabondance de pensée » s’applique…