Au joli bois des roses, il y a sept maisons. Monsieur Ours se demande si une abeille n’est pas trop petite pour devenir son amie. Crapaud rêvait d’être un explorateur et invente tous les jours de nouvelles histoires pour son ami Scarabée. Mademoiselle Renarde enseigne l’histoire, la géographie, les mathématiques et l’alphabet, tandis que Blaireau vend des bougies.
Né le 21 avril 1990 à Etterbeek
Agent d'éducation A2, Braine-le-Comte Ergothérapie, Bruxelles
Léo Rau est une entreprise familiale à caractère récréatif. Son activité principale est la création d'histoire pour la jeunesse. Ses deux actionnaires sont mon père (Rascal) et moi. Enfant, j'aimais inventer des histoires. Des histoires mettant en scène foule de héros dessinés en bulles et en cases par mon frère Marius. Des histoires de maladies, d'entorses imaginaires ou d'embouteillages monstrueux à mes professeurs de gymnastique ou de chimie. Des histoires de cours de récréation pour épater les filles. (Faute de jouer de la guitare électrique). Après une année d'étude en ergothérapie et une autre comme apprenti garçon coiffeur, j'ai définitivement remisé les ciseaux et renoncé au serment d'Hippocrate. Nos amies les bêtes est le premier album estampillé Léo Rau. Lauréat d'une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Découverte, 2011Né le 13 décembre 1975 à Colombes, France
Graduat en Arts plastiques - Illustration, Saint-Luc, Bruxelles
Avec des sources d'inspiration graphiques comme Sempé, Arnold Lobel et Edward Gorey, l'illustration pour enfant est une passion avant d'être un métier. Neil Desmet vit actuellement à Bruxelles avec sa compagne Agnès, ses petites filles Lalie et Agathe ... et ses deux chats Jeanot et Zazie. Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Découverte, 2006 Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au projet, 2008 et 2011.
Pour réaliser Papy de neige , les Editeurs ont réuni une jeune illustratrice dont c’est le premier album et un auteur chevronné pour ado et adultes qui s’adresse ici aux enfants. C’est l’hiver. Il neige fort. Le jeune narrateur (ou peut-être est-ce une jeune narratrice ?) et son Papa construisent un grand bonhomme de neige. Avec tout ce qu’il faut pour qu’il ait l’air d’une vraie personne. Des noix pour les yeux, une écharpe, un chapeau et des gants. Quand la neige s’arrête de tomber, le bonhomme commence par résister. Le soleil lui donne de l’éclat. Mais petit à petit, l’air se réchauffant, le bonhomme se met tout doucement à rapetisser, à rétrécir, à fondre. Jusqu’à n’être plus qu’un petit tas blanc sur le sol. Ce que je ne vous ai pas dit c’est que le jeune narrateur avait un Papy. Sans que le mot ne soit jamais prononcé, le lecteur a compris que ce Papy - le papa de son papa - est mort. Or ce papy adorait la neige. « Il disait que la neige apaise la tristesse et la colère ». Et pour le gamin, le bonhomme de neige « beau et fier » ressemble à son Papy. A tel point qu’accompagner l’homme de neige dans sa courte vie, lui permet de revivre les derniers moments avec son Papy et d’accepter l’inéluctable. D’une certaine manière, la neige a apaisé la tristesse de l’enfant et peut-être même sa colère.…