Vaudrait mieux pas y aller, se dit Ernest. Qui s’appelle Boris, d’ailleurs. Il est un peu poète. La chanson française, ça le connaît. Pourtant, c’est le boss et Art qui vont le faire danser. Faut qu’il parle, Boris. Poète ou pas, ça va mal finir. Art ne pense qu’à le buter ! Et puis l’embarquer dans la belle américaine du patron. Parfait : le terrain est vague, pas de témoin. Enfin, si : Tristan Alleman, qui saisit les répliques, les couplets, les refrains et nous en fait profiter dans une langue pas toujours très vertueuse.
Dans ce récit douloureux aux accents de Tontons flingueurs flingués, beaucoup d’humour et de musique virevoltante, distillés par ce jeune auteur de 58 ans, entourés de personnages pas vraiment recommandables. Et pourtant, recommandés !
Auteur de Arthur, où t'as mis le corps ?
Conte thérapeutique qui explique aux parents et à l'enfant les émotions et questions qui adviennent lorsque la maman est enceinte de plusieurs foetus et que la vie ne suit pas !Il permet de rappeler à la mémoire…
L’homme moderne est en train de se défaire du réel comme s’il ne restait de l’humanisme…