Apnée | Objectif plumes
RÉSUMÉ
Freddo vient d’hériter d’un immense domaine familial trop cher à entretenir. Il devient professeur de philosophie pour subvenir à ces nouveaux frais. Avec une bande d’amis, il élabore des dossiers pédagogiques audacieux afin de créer une contre-école, avec le souci de trouver une nouvelle manière d’apprendre.
À PROPOS DES AUTEURS
Antoine Boute

Auteur de Apnée

Antoine Boute, né en 1978, vit et travaille à Tervuren (Belgique), presque dans la forêt. Il travaille à faire se chevaucher littérature, philosophie et expériences, en écrivant des livres, en réalisant des performances, en enseignant (aux Ecoles Supérieures des Arts Erg et Saint-Luc à Bruxelles), en proposant des workshops, en organisant des événements. Il est l’auteur d’une quinzaine de livres, dont Les Morts rigolos, avec Victor & Lucas Boute ; S'enfonçant, spéculer ; Inspectant, reculer ; Opérations biohardcores  ; Manuel de civilité biohardcore, avec Stéphane De Groef et Adrien Herda ; On peut boire la transpiration d’un cheval.
Chloé Schuiten

Illustrateur de Apnée

Chloé Schuiten vit et travaille à Bruxelles. Artiste multidisciplinaire, elle dessine, écrit, réalise des bandes dessinées, elle teste et organise des événements et modes de vie collectifs. Par moment elle est styliste de l’urgence et des rebuts, ou prof d’atelier “rien faire en forêt”. Obsédée par les miettes, par ce qui traine et est indésirable, elle récolte ces bouts et les utilise comme matériaux de base à ses créations. Son travail traite aussi de l’ensauvagement et des rapports entre hommes et animaux.
NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Dans la foulée de S’enfonçant, spéculer, d’Inspectant, reculer (ONLiT), l’écrivain, performer, musicien Antoine Boute produit, en collaboration avec Chloé Schuiten, Clément Thiry et Jeanne Pruvot Simonneaux, Apnée, un objet textuel non identifiable qui délivre une souveraine expérience sensorielle et conceptuelle. Traversée des états d’une littérature modifiée, Apnée se déroule comme un récit/anti-récit qui spécule pour une sortie de la fiction usuelle, pour un récit haret, un agencement féral composé de dessins et d’une écriture en transhumance. « Ceci n’est pas un roman » nous dit ce roman qui n’en est pas un, qui se lit photoélectriquement.Le livre-objet fait ce qu’il dit.…


Karoo






ATTENTION ! CE LIVRE COMMENCE COMME UN ROMAN MAIS CE N’EST PAS UN ROMAN ! NON ! ET PAS UN RECUEIL DE NOUVELLES NON PLUS ! NI DE LA POESIE, NI DE LA PHILO, NI DE LA SCIENCE ! NON ! MIEUX QUE TOUT ÇA !















 

TOUT ÇA MAIS PLUS QUE TOUT CA ! CE LIVRE EST UNE BLAGUE ! UNE BLAGUE D’ECRITURE ! L’ECRITURE EST UNE BLAGUE AFFIRME CE LIVRE ET IL A RAISON ! IL A RAISON MAIS C’EST PARCE QU’IL A UNE CONCEPTION DEVIANTE A LA FOIS DU CONCEPT DE BLAGUE ET DU CONCEPT D’ECRITURE ! HA HA ! VOUS CONNAISSEZ LES « SYSTEMES CHAOTIQUES DE NIVEAU 2 » !? HA HA ! UN SYSTEME CHAOTIQUE DE NIVEAU 2 EST UNE BONNE BLAGUE AFFIRME CE LIVRE ! ET CE LIVRE PRETEND…


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À propos du livre Nonum prematur in annum… L'exigeant précepte d'Horace a trouvé, cette fois, sa rigueur dépassée, puisque c'est de 1948 qu'est daté le premier tome du présent ouvrage. Bien malgré nous, il est vrai : des occupations professorales absorbantes, la maladie ensuite, puis de cruelles épreuves familiales ont, trop longtemps sans doute, retardé la rédaction, la mise au point et l'achèvement de ce tome II et dernier. On s'en excuse. Après un tel délai, peut-être n'est-il pas inutile de rappeler à cette place le dessein qui n'a pas cessé d'être le nôtre. C'est de poursuivre, dans le milieu belge, entre 1815 et 1850, une enquête attentive sur l'évolution des idées, des tendances et des réputations littéraires. La suivant à la trace, nous avons cherché à en préciser la marche dans les esprits et dans les écrits de ce temps. Revues et journaux, préfaces et critiques nous ont fourni l'essentiel de notre documentation. Nous avons tenu le plus grand compte des influences étrangères, et singulièrement de celle du romantisme français, dont la contrefaçon multiplie alors les oeuvres parmi nous. Et nous n'avons pas négligé de mesurer, quand il y avait lieu, les répercussions des événements politiques ou sociaux sur le devenir, en nos provinces, de la «chose littéraire». Notre propos a donc été, dans l'essentiel, l'étude d'un mouvement d'idées. On aurait tort de chercher ici un relevé complet des auteurs belges de l'époque romantique et un catalogue de leurs ouvrages. Nous avons, pour notre modeste part, essayé de tracer un tableau abrégé de cette époque de notre passé littéraire dans quelques chapitres de la grande Histoire illustrée des lettres françaises de Belgique, dont nous avons naguère dirigé la publication avec notre savant confrère et collègue, M. Joseph Hanse. On nous permettra d'y renvoyer. Ici, la production nationale nous intéresse avant tout dans la mesure où elle rend témoignage de la marche des idées littéraires ou en illustre le cheminement. Volontairement réduites au minimum, nos indications bibliographiques sont, strictement, celles des textes qui ont fourni nos citations ou autorisé nos conclusions. En d'autres termes, notre dessein a été ici, avant tout d'apporter une contribution valable à l'histoire des idées, er souhaitant qu'elle puisse servir à illustrer un jour ce que notre regretté maître Fernand Baldensperger appelait «une sorte de philosophie de la vie et du mouvement en littérature». Nous ne nous flattons pas d'y avoir réussi. Du moins espérons nous qu'on pourra trouver aux pages du présent tome, comme à celles du précédent, des citations nouvelles ou peu connue: et des témoignages inédits,…

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