Alternatives théâtrales - 128 - avril 2016 - There are alternatives! | Objectif plumes

Alternatives théâtrales - 128 - avril 2016 - There are alternatives!

Sommaire

  • « L’ennui est le principal agent d’érosion des paysages pauvres »
    Antoine Laubin
  • Quelles sont nos alternatives ?
    Table-ronde avec Mateo Alaluf, Nancy Delhalle, Matthieu Goeury, Mylène Lauzon,
    Sylvie Martin-Lahmani, David Murgia, Coline Struyf
    Animée par Antoine Laubin
  • Réaffirmer le théâtre comme espace et temps publics. Pour une alternative démocratique
    Nancy Delhalle
  • L’Amicale de production
    Laboratoire de création multicéphale à géométrie variable
    Entretien croisé avec Sarah Calvez et Halory Goerger
    réalisé par Sylvie Martin-Lahmani
  • Le cas Hamlet
    À propos de Please, Continue (Hamlet)
    Entretien avec Yan Duyvendak
    réalisé par Sylvie Martin-Lahmani
  • Donne-moi une clé et j’ouvrirai des portes
    Florence Minder
  • Citoyens et scènes,
    du théâtre acté par des non-professionnels
    Entretien croisé de Selma Alaoui et Jens Christian Lauenstein Led
  • Le novice éclairé
    Serge Saada

    CAHIER CRITIQUE

  • Le Raoul collectif : d’autres résistances
    À propos de Rumeur et petits jours
    Laurence Van Goethem
  • Claude Schmitz : les moyens de ses ambitions
    À propos de Darius, Stan et Gabriel contre le monde méchant
    Judith de Laubier et Antoine Laubin
  • Sur la ligne rouge
    Notes sur Wycinka / Des Arbres à abattre, mise en scène de Krystian Lupa
    Christophe Triau
  • Road-trip théâtral
    À propos de Après la peur d’Armel Roussel
    Sabine Dacalor
  • Un théâtre permanent
    À propos de Gwenaël Morin
    Fabienne Darge
  • Le temps intégré et le regard du spectateur
    À propos de Richard III mise en scène de Thomas Jolly
    Georges Banu
  • Extrait d’archive : Y a-t-il (vraiment) un « Prince » dans la salle ?
    Texte publié en juin 1994 dans le n°45 d’Alternatives théâtrales
    Linda Lewkowicz

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:propos - "Alternatives théâtrales - 128 - avril 2016 - There are alternatives!"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Une drôle de fille

Armel Job emmène le lecteur dans le monde de son nouveau roman. Cette histoire de famille, terrible, dans une tension…

Une revue catholique au tournant du siècle : Durendal 1894-1919

À propos du livre (texte de l'Introduction) Lorsqu'on parcourt une histoire de la littérature belge de langue française, le chapitre consacré à cette époque particulièrement florissante, qui va de 1880 à la première guerre mondiale, frappe par l'éclosion soudaine de revues littéraires qui suivirent l'exemple de la Jeune Belgique. Dans la liste de ces revues plus ou moins éphémères, l'attention est attirée par la longévité surprenante de l'une d'elles, Durendal, revue catholique d'art et de littérature . Ce mensuel catholique parut pendant vingt ans, de 1894 à 1914, alors que la Jeune Belgique ne sortit de presse que durant seize années et que la Wallonie disparut au bout de sept ans. Quelle recette a donc permis à Durendal de garder si long-temps ses lecteurs? Et une seconde question vient à l'esprit : à quoi pouvait bien s'intéresser une revue littéraire catholique à un moment où la littérature catholique semble inexistante? Qui a fondé Durendal ? Quels étaient ses objectifs? Autant de questions sur lesquelles bien peu de critiques ou d'historiens littéraires se sont penchés. En faut-il davantage pour désirer examiner avec un peu d'attention cette revue et la sortir de l'oubli, comme ce fut fait autrefois pour la Jeune Belgique et la Wallonie ? C'est ce que nous allons essayer de faire : rechercher les origines de la revue, découvrir son but, analyser la manière dont elle l'atteignit et les raisons qui la maintinrent en vie au-delà de la durée moyenne d'existence des revues littéraires belges. Ce travail ne se veut pas exhaustif: beaucoup d'aspects devront malheureusement rester ignorés, principalement certains problèmes plus particulièrement artistiques qui sortent de nos compétences par leur caractère trop technique. Nous ne proposerons pas non plus, dans chaque chapitre, un relevé détaillé de tous les articles parus dans Durendal et traitant du sujet mais seulement les extraits les plus significatifs. La présentation typographique de la revue, son illustration de plus en plus abondante et le sommaire de chaque numéro ne nous paraissent pas mériter de longs développements. Il suffit de savoir qu'en 1894 chaque numéro comptait vingt pages, tandis que ce nombre…

Poèmes choisis

Portrait par Jean Tordeur Préface de Michel Ducobu À propos du livre En 1943, les poèmes de La Vigne amère , en 1950…