Dans notre collection littéraire, il y a souvent des auteurs dont je découvre l’œuvre. Cette fois, c’est une autrice que j’ai découverte avant qu’elle ne publie.
Adeline Dieudonné m’a envoyé un premier opuscule (Seule dans le noir) qui reste l’exemple idéal de nos nouvelles de 5000 mots. En pleine déferlante de La vraie vie, elle s’amusa à m’en envoyer un deuxième (Le ventre idéal) sous une fausse identité car je lui avais dit que je reconnaîtrais son style entre mille.
Entre les deux, Stéphane Levens l’a menée vers Julia Pavlowitch, l’éditrice de l’iconoclaste qui travailla étroitement avec elle à son premier roman. Avec Thomas Gunzig, ce sont les trois mousquetaires (et je ne suis que Monsieur de Tréville).
Bou Bounoider, chroniqueur littéraire sur Vivacité, BXFM, RCF, PassionFM… a répondu à mon appel avec enthousiasme et nous livre un article épatant à l’heure où paraît Reste, le nouveau best-seller d’Adeline Dieudonné.
Eric Lamiroy
Répertoire des thèmes de l'écrivain gaumais : la maison, le chemin, l'enfance, le temps passé, la civilisation orale disparue,…
À propos du livre (4e de couverture) Les historiens contemporains des lettres françaises de Belgique…