Adeline Dieudonné : La vie après la vraie vie (L'article n° 33)

RÉSUMÉ

Dans notre collection littéraire, il y a souvent des auteurs dont je découvre l’œuvre. Cette fois, c’est une autrice que j’ai découverte avant qu’elle ne publie.

Adeline Dieudonné m’a envoyé un premier opuscule (Seule dans le noir) qui reste l’exemple idéal de nos nouvelles de 5000 mots. En pleine déferlante de La vraie vie, elle s’amusa à m’en envoyer un deuxième (Le ventre idéal) sous une fausse identité car je lui avais dit que je reconnaîtrais son style entre mille.

Entre les deux, Stéphane Levens l’a menée vers Julia Pavlowitch, l’éditrice de l’iconoclaste qui travailla étroitement avec elle à son premier roman. Avec Thomas Gunzig, ce sont les trois mousquetaires (et je ne suis que Monsieur de Tréville).

Bou Bounoider, chroniqueur littéraire sur Vivacité, BXFM, RCF, PassionFM… a répondu à mon appel avec enthousiasme et nous livre un article épatant à l’heure où paraît Reste, le nouveau best-seller d’Adeline Dieudonné.

Eric Lamiroy


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Adeline Dieudonné : La vie après la vraie vie (L'article n° 33)"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9174 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Lamartine critique de Chateaubriand dans le Cours familier de littérature

À propos du livre (4e de couverture) Les historiens contemporains des lettres françaises de Belgique tiennent avec raison que La Légende d'Ulenspiegel en est le livre fondateur. Toute fondée qu'elle soit, cette assertion a tardé à prendre forte d'évidence. Lorsque Charles De Coster fait paraître sont livre, en 1867, seuls quelques lecteurs perspicaces y prêtent attention sans parvenir à lui assurer une quelconque reconnaissance. Et c'est aussi pauvre qu'inconnu que l'écrivain meurt en 1879. Il est vrai que «La Jeune Belgique», quinze ans plus tard, reconnaît son rôle, mais le statut de son livre n'en est en rien changé : il a peu de lecteurs, il n'est pas pris au sérieux. Tel n'est pas le cas du jeune Joseph Hanse dont l'Académie royale de langue et de littérature françaises s'empresse, dès 1928, de publier la thèse de doctorat consacrée à Charles De Coster et dont Raymond Trousson écrit aujourd'hui dans sa préface : «Ce coup d'essai était un coup de maître. Soixante-deux ans après sa publication, ce livre demeure fondamental, indispensable à quiconque entreprend d'aborder l'œuvre magistrale qu'il mettait en pleine lumière.» Devenu introuvable, enfin réédité aujourd'hui, le Charles De Coster de Joseph Hanse, qui a ouvert la voie à toutes les études ultérieures et internationales sur le sujet, fera figure, pour beaucoup, d'une découverte et d'une…

Jean Mergeai

Répertoire des thèmes de l'écrivain gaumais : la maison, le chemin, l'enfance, le temps passé, la civilisation orale disparue,…

Pour le centenaire de Colette

Textes de Georges Sion , Françoise Mallet-Joris , Pierre Falize, Lucienne Desnoues et Carlo Bronne À propos du livre (Texte de l'Introduction) Il était normal que l'Académie veuille…