À-vide suivi de J’aimerais mourir sous un orme

RÉSUMÉ

À-vide
Charlotte s’avance dans le noir de l’espace. Elle cherche un
mot. Le mot qui sonnerait juste, un mot à la hauteur d’un début.
Jérôme, guitare en main, accompagne ses balbutiements. Il joue.
Elle danse. Et reprend sa recherche.

J’aimerais mourir sous un orme
On cherchait une parole qui tienne dans tout ce bordel. Parmi
les ruines, les gravats, dans la cendre et la boue. Une parole.
Parce que c’est ça, peut-être, le théâtre… trouver ce soir une
parole où vivre.

À PROPOS DE L'AUTEUR
Aurélien Dony

Auteur de À-vide suivi de J’aimerais mourir sous un orme

Né à Dinant en 1993, Aurélien Dony entre au Conservatoire royal de Bruxelles en 2015 pour y effectuer un cursus en Théâtre et Arts de la parole. En parallèle de ses études, il écrit et publie plusieurs ouvrages (poésie, nouvelles, roman…). Il représente la Belgique francophone au festival international de poésie de Trois-Rivières en 2013, lors du Printemps poétique transfrontalier en 2018, au Québec en mars 2020, en Acadie en octobre 2022... En novembre 2021, il reçoit le prix du Public dans la catégorie littérature francophone dans le cadre des Prix Fintro (1ère édition). En 2019, il co-crée l’Absolu Théâtre avec le danseureuse Charly Simon. Il crée avec cette compagnie les spectacles A-vide (2020- nommé aux Prix Maeterlinck de la Critique, catégorie Découverte-2022), J'aimerais mourir sous un orme (2021) et  "Paysage-prototype 1" (2022). Aurélien Dony donne également des ateliers d'écriture dans l'enseignement primaire, secondaire et supérieur. De l'initiation à l'écriture poétique en passant par le travail du spoken word (en compagnie de Jérôme Paque, compositeur et guitariste), il partage ses outils de création avec des élèves de tous âges. Entre 2019 et 2022, Aurélien assure des séminaires de création et d'écriture dramatique au Conservatoire royal de Bruxelles et intègre l'équipe pédagogique en tant qu'assistant en art dramatique en septembre 2022. Son travail dramatique et poétique se tourne principalement vers l'intensité du dire, le labour des mots dans le silence du monde et le déséquilibre permanent du sujet.

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