Émile Verhaeren est mort accidentellement sur le quai de la gare de Rouen, le 27 novembre 1916. Il effectuait à ce moment des tournées de conférences en faveur du pays occupé. Autant que sa proximité avec la famille royale, cette circonstance a contribué à lui donner la stature d’un poète national, désormais enseigné à l’école et consacré par de nombreuses études.
Ce sont quelques autres visages du poète que le présent numéro voudrait présenter, dans ce qu’ils peuvent, en apparence, avoir de mineur, de secondaire ou de marginal, mais qui ont, à leur manière, contribué à façonner l’image que nous en avons.
On évoquera ainsi successivement la figure d’un Verhaeren journaliste, chroniqueur mondain ou collaborateur d’un journal politique, le Verhaeren intime et quelques aspects de son audience internationale.
Pour enrichir le dossier de cette livraison double, plusieurs articles évoquent aussi ses contemporains et ses proches, de Félicien Rops…
Le “Etty Hillesum Youth Theater” à Jaffa. Un théâtre pour créer du lien
oir pour la version française: Etty Hillesum: Une vie bouleversée, suivi de Lettres de Westerbork, éditions du Seuil, 1995 Voir l’article paru dans I24: https://www.i24news.tv/fr/actu/culture/132250-161210-pascal-rambert-a-tel-aviv-l-occasion-faire-une-chose-utile-a-travers-l-art…