Philippe COLMANT

PRÉSENTATION
Formation :1982-1986 : Institut supérieur de traducteurs et interprètes (ISTI), Bruxelles Licence en traduction néerlandais-anglais.Parcours professionnel :1987-2011 : Traducteur, copywriter, réviseur et gérant de l'agence en communication écrite EASY WRITER, puis de la société EXPRESSION LIBRE, spécialisée en traductions rédactionnelles vers le français.Depuis 2012 : Traducteur-réviseur au sein de l'unité française de la Cour des comptes européenne à Luxembourg.

BIBLIOGRAPHIE


PRIX
  •   Prix Delaby-Mourmaux de l’Association des écrivains belges de langue française (AEB), 2023 (Tectonique du temps)


NOS EXPERTS EN PARLENT
Le Carnet et les Instants

Un beau samedi d’avril, un triple meurtre tombe sur les bras du commissaire Pierre Van Calster et de son équipe. Une ancienne cantatrice, Alice Dantinne, est retrouvée morte au bas de son immeuble. Les soupçons d’un suicide sont rapidement écartés vu les marques de strangulation présentes sur son cou. Deux autres corps d’hommes, sauvagement assassinés et mutilés, sont découverts quelques heures plus tard dans une église désaffectée et à l’orée de la forêt de Soignes.Le tableau fait froid dans le dos. Même les plus avertis à ce type de scénario macabre en sont tout retournés. Les deux hommes ont été émasculés et décapités, et le bourreau s’est amusé à échanger leur tête. Van Calster et ses inspecteurs ont du pain sur la planche, d’autant plus que les…


Le Carnet et les Instants

Philippe Colmant  et Philippe Leuckx se sont rejoints dans un volume écrit à quatre mains, orné de photographies en noir et blanc. Le titre Frères de mots se justifie d’emblée : rien n’indique auquel des deux Philippe attribuer tel ou tel poème. L’auteur des photographies, paysages de forêts et chemins de campagne enneigés, n’est pas davantage identifié dans ce recueil paru aux Éditions Le Coudrier.  C’est bien d’un entrelacement délibéré qu’il s’agit pour ces deux poètes, excluant que l’un se prévale d’une image fût-elle stylistique ou argentique.Chaque poème donne à cette complicité un éclairage fraternel, d’autant plus intense que l’un et l’autre se retrouvent dans chaque mot déposé dont ils se dépossèdent. Y a-t-il échange plus profond…


Le Carnet et les Instants

Auteur de romans policiers et de recueils de poésie, Philippe Colmant nous avait donné, au début de cette année, un recueil : Frères de mots. Il l’avait écrit à quatre mains en complicité avec Philippe Leuckx qui signe une préface sensible et lumineuse au dernier recueil de son désormais « frère de mots ». Ouvrir cette recension en évoquant la complicité créatrice de deux poètes est une manière délibérée de saluer, chez l’un et l’autre, cet entrelacement de l’écriture et de la lecture des œuvres. La préface est le premier partage d’un livre, la première lecture accordée à l’ouvrage, achevé certes, mais encore maladroit au commencement du chemin si escarpé de la publication, de la promotion, de la recherche de ce public dont on dit qu’il s’éloigne…