« On peut survivre de mille et un passés mais on meurt dès qu’on a perdu son seul avenir. » Ce constat cristallise les élans scripturaux du narrateur de Jack. Cet homme, fragilisé, dans la trentaine, emménage dans un appartement (aussi étriqué que ses moyens et peu pimpant que son allure) suite à une rupture sentimentale non métabolisée. Bien sûr, il y a déjà eu le tri des souvenirs, l’installation dans un quartier agréable, les encouragements des proches, la formulation positive de résolutions. Mais tout s’est enchaîné très vite, trop même. À présent, il y a surtout cet espace de célibat, ce minimalisme imposé, cette nouvelle page d’existence à écrire. Alors pourquoi ne pas se prendre au mot et l’écrire, ce roman jamais abouti, tel…
Louis et Augustin vont faire une blague à leurs parents. Ils vont inventer qu'ils sont partis au Canada…
"Polders. Entre le ciel et l'eau, la lumière y est partout souveraine. Paysages…
Amanda nous emmène sur un chemin forestier.«Nous sommes à la hauteur du…