RÉSUMÉ

Un jour, un mystérieux objet volant non identifié s’immobilise au-dessus du quartier des affaires d’une petite ville, le plongeant dans la pénombre. Plus aucun appareil électrique, plus aucun moteur ne fonctionne.
Quatre ans plus tard, la vie a repris son cours, excepté dans ce quartier sombre, coupé du reste qu’on appelle désormais le Zwarthoek.
Comme tout le monde, Louis et Raymond, deux copains désœuvrés, évitent soigneusement d’y mettre les pieds. Jusqu’au jour où une jeune femme fait appel à eux afin de retrouver sa sœur jumelle disparue depuis peu.
Cette enquête les entraîne au cœur de ce mystérieux quartier et de plusieurs histoires : l’œuvre d’un artiste fou, la jalousie d’un galeriste, un mystérieux vol organisé de vélos, le projet farfelu d’une bande d’activistes…
Mais que se passe-t-il vraiment dans l’impénétrable Zwarthoek ?

À PROPOS DES AUTEURS
Cyril Elophe

Illustrateur de Zwarthoek

Cyril Elophe est diplômé de l’École supérieure des arts Saint-Luc de Bruxelles. Il vit dans la capitale belge où il travaille comme auteur d’illustrations et de bandes dessinées depuis 2004. Il réalise des illustrations, adulte et jeunesse, pour la presse, papier et Web (Médor, Socialter, Philéas & Autobule,… ), pour des institutions et le secteur culturel (Fédération Wallonie-Bruxelles, Visit Brussels, Halles de Schaerbeek, ...) ainsi que pour des agences et clients très divers (Fleurus, Engie, Dalkia, Pan ! la compagnie, Ados Pilifs, Fabernovel, AF83, TBWA, ...). Animé du désir de transmettre efficacement par l’image des concepts précis et complexes, il a également développé un intérêt particulier pour l’illustration scientifique et la pédagogie médicale (plus de 40 Guides visuels du patient et Atlas santé aux Éditions Vivio). Son travail en bande dessinée s’exprime par des collaborations plus personnelles avec la participation à des ouvrages collectifs (Tête à tête, Moga Mobo, ...), des reportages dessinés (Médor, 24H01), des récits périodiques (depuis 2005, deux pages publiées dans la revue bimestrielle Philéas & Autobule, avec Alain Munoz) et la publication d’un album aux Éditions Vide Cocagne (Zwarthoek, sur un scénario de Stéphane Taquet et Benoît Henken) Militant activement pour une meilleure reconnaissance professionnelle des autrices et auteurs, il est également l’initiateur du festival Cultures Maison, dont il a coordonné l’organisation de 2010 à 2018, à l’origine de la fédération professionnelle ABDIL (Auteurices de la Bande Dessinée et de l’Illustration) et membre actif du RISA (Rassemblement d’Intermittents du Secteur des Arts).
Stéphane Taquet (Scribal)

Auteur de Zwarthoek

Stéphane Taquet fut libraire et régisseur d’opéra dans de grandes enseignes – mais pas en même temps – et concilie depuis peu le métier de dramaturge (en danse contemporaine surtout) avec celui de scénariste (en bandes dessinées surtout).
Cyril Elophe

Illustrateur de Zwarthoek

Cyril Elophe est diplômé de l’École supérieure des arts Saint-Luc de Bruxelles. Il vit dans la capitale belge où il travaille comme auteur d’illustrations et de bandes dessinées depuis 2004. Il réalise des illustrations, adulte et jeunesse, pour la presse, papier et Web (Médor, Socialter, Philéas & Autobule,… ), pour des institutions et le secteur culturel (Fédération Wallonie-Bruxelles, Visit Brussels, Halles de Schaerbeek, ...) ainsi que pour des agences et clients très divers (Fleurus, Engie, Dalkia, Pan ! la compagnie, Ados Pilifs, Fabernovel, AF83, TBWA, ...). Animé du désir de transmettre efficacement par l’image des concepts précis et complexes, il a également développé un intérêt particulier pour l’illustration scientifique et la pédagogie médicale (plus de 40 Guides visuels du patient et Atlas santé aux Éditions Vivio). Son travail en bande dessinée s’exprime par des collaborations plus personnelles avec la participation à des ouvrages collectifs (Tête à tête, Moga Mobo, ...), des reportages dessinés (Médor, 24H01), des récits périodiques (depuis 2005, deux pages publiées dans la revue bimestrielle Philéas & Autobule, avec Alain Munoz) et la publication d’un album aux Éditions Vide Cocagne (Zwarthoek, sur un scénario de Stéphane Taquet et Benoît Henken) Militant activement pour une meilleure reconnaissance professionnelle des autrices et auteurs, il est également l’initiateur du festival Cultures Maison, dont il a coordonné l’organisation de 2010 à 2018, à l’origine de la fédération professionnelle ABDIL (Auteurices de la Bande Dessinée et de l’Illustration) et membre actif du RISA (Rassemblement d’Intermittents du Secteur des Arts).

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Klimt

Vienne, 1907. Le peintre Gustav Klimt rend visite aux époux Bloch-Bauer. Ferdinand demande alors à Gustav de réaliser le portrait de sa femme, Adèle ; requête entraînant un flashback. Six ans auparavant, alors que Klimt essuyait des critiques acerbes au sujet de son œuvre La Médecine , il a rencontré ce couple, admirateur de son génie et dont la femme l’a prié de lui ouvrir les portes de son atelier. Au même moment, l’artiste recevait en rêve l’inspiration pour son prochain tableau. C’est par ce prisme que l’on entre dans l’univers de l’artiste : son atelier, ses modèles, sa mère, sa compagne, Émilie, mais aussi ses rêves, ses angoisses, ses sources d’inspiration en somme. L’histoire narrée en bande dessinée par Cornette et Marc-Renier est une tranche de vie, prétexte à l’évocation du peintre, de son style, de son époque et de l’avant-gardisme dont il y faisait preuve. L’idée est en effet plus de mettre en avant ses particularités que de réaliser sa biographie. Le récit est assez simple et aurait peu d’intérêt sans l’aspect « inspiré de faits réels », mais n’en est pas moins cohérent et bien rythmé.Les dessins sont soigneusement détaillés. Le rendu est classique, avec un crayonné assez fort accentuant les sujets principaux. Les travaux de Klimt évoqués sont réinterprétés plutôt que cités et le résultat est réussi et efficace : le redesign des œuvres permet une intégration fluide dans les cases tout en invitant à les découvrir sous un angle neuf.Le récit principal est suivi d’un court cahier didactique sur Gustav Klimt. Il complète la bande dessinée en développant quelques sujets qu’elle évoque. On y voit notamment des reproductions des œuvres évoquées dans l’album. Ainsi, le lecteur a à portée de main de quoi satisfaire sa curiosité, titillée par l’histoire racontée en images et phylactères.La bande dessinée Klimt est une introduction sympathique à l’œuvre de l’artiste. Les connaisseurs n’apprendront probablement pas grand-chose, là où les néophytes apprécieront l’accessibilité du propos et les informations proposées en fin d’ouvrage. Les visuels soignés plairont aux amateurs de bande dessinée traditionnelle, alors que l’histoire…

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