XIII (tome 27) : Mémoire rechargée

RÉSUMÉ

Jason Mac Lane, alias XIII, a infiltré la Fondation Mayflower, une organisation ultra-conservatrice qui prépare un complot afin de s’emparer de la présidence des États-Unis.
Perché au sommet de Washington Monument, il s’apprête à exécuter l’ordre de la Fondation dans l’espoir de sauver ses amis : tirer sur le Pape en visite officielle ! À 2132 mètres de distance, sa balle touche le Saint-Père au bras. Parmi les officiels, c’est la panique.
Réfugiés à l’intérieur du Capitole, le Président et les membres du gouvernement voient le toit du bâtiment s’effondrer sur eux. Quelques minutes plus tard, trois terroristes islamistes tirent dans la foule depuis une camionnette-bélier. Puis des mini-drones, de la taille d’un insecte, lâchent un gaz mortel sur les décombres du Capitole.
Le président du Sénat, membre du complot, accède alors à la tête du pays. La Fondation Mayflower a atteint son objectif. Il ne lui reste plus qu’à « reprogrammer » XIII en lui implantant une mémoire neuve, afin qu’il devienne entièrement dévoué à sa cause…


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Klimt

Vienne, 1907. Le peintre Gustav Klimt rend visite aux époux Bloch-Bauer. Ferdinand demande alors à Gustav de réaliser le portrait de sa femme, Adèle ; requête entraînant un flashback. Six ans auparavant, alors que Klimt essuyait des critiques acerbes au sujet de son œuvre La Médecine , il a rencontré ce couple, admirateur de son génie et dont la femme l’a prié de lui ouvrir les portes de son atelier. Au même moment, l’artiste recevait en rêve l’inspiration pour son prochain tableau. C’est par ce prisme que l’on entre dans l’univers de l’artiste : son atelier, ses modèles, sa mère, sa compagne, Émilie, mais aussi ses rêves, ses angoisses, ses sources d’inspiration en somme. L’histoire narrée en bande dessinée par Cornette et Marc-Renier est une tranche de vie, prétexte à l’évocation du peintre, de son style, de son époque et de l’avant-gardisme dont il y faisait preuve. L’idée est en effet plus de mettre en avant ses particularités que de réaliser sa biographie. Le récit est assez simple et aurait peu d’intérêt sans l’aspect « inspiré de faits réels », mais n’en est pas moins cohérent et bien rythmé.Les dessins sont soigneusement détaillés. Le rendu est classique, avec un crayonné assez fort accentuant les sujets principaux. Les travaux de Klimt évoqués sont réinterprétés plutôt que cités et le résultat est réussi et efficace : le redesign des œuvres permet une intégration fluide dans les cases tout en invitant à les découvrir sous un angle neuf.Le récit principal est suivi d’un court cahier didactique sur Gustav Klimt. Il complète la bande dessinée en développant quelques sujets qu’elle évoque. On y voit notamment des reproductions des œuvres évoquées dans l’album. Ainsi, le lecteur a à portée de main de quoi satisfaire sa curiosité, titillée par l’histoire racontée en images et phylactères.La bande dessinée Klimt est une introduction sympathique à l’œuvre de l’artiste. Les connaisseurs n’apprendront probablement pas grand-chose, là où les néophytes apprécieront l’accessibilité du propos et les informations proposées en fin d’ouvrage. Les visuels soignés plairont aux amateurs de bande dessinée traditionnelle, alors que l’histoire…