Wight spirit | Objectif plumes

Wight spirit

RÉSUMÉ

Bob et Michel sont deux grands ados prêts à tout pour aller assister au Festival de l’île de Wight en cette fin d’été 1969. Fugueurs, ils envisagent même de s’installer là-bas à demeure.

Mais leurs maigres économies n’y suffiront pas. Il leur faut travailler avant. Qu’à cela ne tienne, ils seront garçons de ferme. Mais dans le monde agricole : un sou, c’est un sou, et la somme qu’ils espéraient engranger ne s’annonce pas mirobolante. Il leur faudra un plan B.  Tous les espoirs seront alors à nouveau permis. Sauf que, rien ne se déroule comme prévu… 

À PROPOS DE L'AUTEUR
Pierre Guyaut-Genon

Auteur de Wight spirit

Après avoir causé dans le poste durant de longues années, Pierre Guyaut-Genon s’exprime désormais par ses écrits. Expression qui peut sembler un tantinet pompeuse, mais une feuille et un stylo amènent très souvent  une suite de mots... Une carrière entière à la Rtbf en général, et à Classic21 en particulier fait que sa voix fut parfois un plaisir à l’oreille de nombre d’entre vous. Désormais, il vous invite sciemment à celui des yeux, de son imaginaire et de sa narration. Personne n’est parfait !...

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Wight spirit"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 10367 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Monsieur Satie : L'homme qui avait un petit piano dans la tête

Pour découvrir l'oeuvre d'Erik Satie à travers une histoire et des extraits des plus célèbres pièces du compositeur. Mélancolique et triste à souhait, cet album-CD n’en est pas moins magnifique. Parler d’Erik Satie - le solitaire, le marginal, l’excentrique souvent incompris -impliquait un ton décalé, gentiment moqueur et grinçant, que rend très bien la voix du récitant François Morel (qui doit sa célébrité, rappelons-le, à l’émission télévisée des Deschiens sur Canal +). Ce n’est pas une araignée au plafond mais juste un petit piano que Monsieur Satie a dans la tête. Les notes de musique y trottent, y vagabondent sans relâche. Il est audacieux, anticonformiste, se moque du wagnérisme et des vaniteux. De son cœur s’échappent des mélodies simples pour rêveurs et poètes, un public qui lui ressemble. « Monsieur Satie parle parfois à la lune. » Et parfois aussi, « Monsieur Satie met son smoking pour écrire une partition. » Il compose, explore, mélange les genres au risque d’être méprisé. Certains l’admirent cependant, comme Cocteau ou Picasso. L’illustratrice Elodie Nouhen évoque bien l’esprit des surréalistes et la solitude du petit monsieur perdu dans le tourbillon des notes. Touches de piano, métronome, partitions…sont surdimensionnés par rapport au musicien qui ne semble pas plus haut que trois chapeaux. Ce que Raymond Lulle appelait « la tristesse par surabondance de pensée » s’applique…