L’enfance ? Une période unique où se mêlent insouciance et joie de vivre. Pour Yves Wellens, le « vert paradis de l’enfance » décrit par Charles Baudelaire a vite cédé sa place à un vert bouteille, un vert assombri par les nombreuses fioles vidées par son père.Yves Wellens nous propose un récit autobiographique à la troisième personne. La confusion n’en est que plus belle puisque le héros s’appelle Je. Cet usage crée de curieux effets grammaticaux qui n’en sont que plus savoureux. Au fil des pages, se succèdent des souvenirs d’enfance, des anecdotes se déroulant dans un quartier du nord de Bruxelles. Il est question du cinéma du coin, des films qu’on y découvrait, de l’opération à cœur ouvert de Je à quatre ans et demi, des…
Peu avant sa mort, Ariel Bildzek, ce géant de la littérature mondiale, m'a révélé ce qu'il…